
M. FAYE par ailleurs ministre de l’hydraulique et de l’Assainissement s’exprimait, en marge d’un atelier régional de capitalisation sur la démarche de mobilisation de ressources fiscales de la Commune, en présence des ses homologues de la région.
« Les ressources fiscales représentent la première source publique de financement du développement, bien avant l’aide internationale. Et, à la différence de l’aide au développement, les ressources issues de la fiscalité locale constituent un financement plus prévisible et durable », a indiqué le maire.
« Le projet GUFL a contribué à la modernisation des services financiers de la Mairie de Saint-Louis et des des services déconcentrés du ministère des Finances et du Plan (MEFP) en fournissant des équipements appropriés (matériels informatiques, de reprographie, de surveillance, et de contrôle) et par la formation du personnel à l’utilisation de logiciels de fiscalité, de gestion budgétaire et comptable », a renseigné l’édile.
Mansour FAYE qui s’est félicité du fait que sa commune se positionne comme ville pilote « à mettre en place la première CFL du Sénégal devant servir de référence aux autres collectivités locales » du pays, a adressé de vifs remerciements au SCAC qui accompagne son institution, dans ce sens, depuis 2012.
Amadou NIANG, le conseiller du directeur général de la DGID, représentant le ministère des Finances, a souligné l’importance de la CFL dans le renforcement de l’économie des collectivités locales. « Elle participe à améliorer considérablement les moyens des collectivités », a-t-il dit.
Au vu du niveau de mobilisation des acteurs locaux pour la réussite du projet, M. NIANG, estime que le choix de Saint-Louis comme lieu d’expérimentation, n’est donc pas fortuit. Avec les expériences acquises, Saint-Louis devient, précise-t-il, « le laboratoire d’un pan important de l’acte 3 de la décentralisation ».
Après le teste du système local de mobilisation des ressources fiscales, un guide de procédure a été élaboré par la DGIG pour dupliquer la démarche dans l’ensemble des collectivités du Sénégal, renseigne le coordonnateur du Partenariat.
« Les collectivités ne peuvent pas tout attendre de l’État et des partenaires, elles doivent s’appuyer également sur les recettes générées au niveau de leurs territoires par l’activité économique pour avoir les moyens de répondre aux préoccupations de ses habitants », explique Nicolas DUPUY.
« Nous avons pu démonter qu’avec un minimum d’investissements, on pouvait avoir des résultats importants qui leur permettent de mieux répondre aux besoins de leurs populations », a-t-il ajouté.
>>> Suivez les réactions de Mansour FAYE et de Nicolas DUPUY
« Les ressources fiscales représentent la première source publique de financement du développement, bien avant l’aide internationale. Et, à la différence de l’aide au développement, les ressources issues de la fiscalité locale constituent un financement plus prévisible et durable », a indiqué le maire.
« Le projet GUFL a contribué à la modernisation des services financiers de la Mairie de Saint-Louis et des des services déconcentrés du ministère des Finances et du Plan (MEFP) en fournissant des équipements appropriés (matériels informatiques, de reprographie, de surveillance, et de contrôle) et par la formation du personnel à l’utilisation de logiciels de fiscalité, de gestion budgétaire et comptable », a renseigné l’édile.
Mansour FAYE qui s’est félicité du fait que sa commune se positionne comme ville pilote « à mettre en place la première CFL du Sénégal devant servir de référence aux autres collectivités locales » du pays, a adressé de vifs remerciements au SCAC qui accompagne son institution, dans ce sens, depuis 2012.
Amadou NIANG, le conseiller du directeur général de la DGID, représentant le ministère des Finances, a souligné l’importance de la CFL dans le renforcement de l’économie des collectivités locales. « Elle participe à améliorer considérablement les moyens des collectivités », a-t-il dit.
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