
À l’occasion de la Journée internationale des femmes, un forum intitulé « Transition économique, les femmes en action » s’est tenu samedi à Guet-Ndar. L’événement a soulevé la necéssité d’inclure les préoccupations des femmes dans les décisions liées à la transition énergétique et au développement durable.
« La femme a un besoin énorme en énergie. Nous voulons que la transition énergétique soit juste. Elle ne peut l’être tant que les préoccupations des femmes ne sont pas prises en compte », a déclaré Aby Dia, chargée de projets à l’ONG Lumière – Synergie pour le Développement.
Les participantes du forum ont invité à intégrer les femmes dans les processus décisionnels, en particulier concernant l’exploitation des ressources énergétiques, comme le gaz. Aby Dia a noté que « des pas restent à franchir » pour assurer cette inclusion.
Cette demande trouve un écho particulier dans le secteur de la pêche, où les femmes jouent un rôle clé dans la transformation et la commercialisation des produits. La présidente de l’Union des femmes transformatrices mareyeuses de Saint-Louis, Fama Sarr, a exprimé ses inquiétudes face aux risques environnementaux liés à l’exploitation gazière, notamment après les informations faisant état d’une possible fuite de gaz sur le projet GTA (Grand Tortue Ahmeyim).
« Cela corrobore les alertes que nous lancions », a-t-elle affirmé. Inquiète pour les communautés de pêcheurs, elle a demandé des éclaircissements de la part des autorités : « Nous invitons l’État à faire la lumière sur cette affaire. Qu’ils disent la vérité aux populations et que BP respecte les communautés des pêcheurs ».
« La femme a un besoin énorme en énergie. Nous voulons que la transition énergétique soit juste. Elle ne peut l’être tant que les préoccupations des femmes ne sont pas prises en compte », a déclaré Aby Dia, chargée de projets à l’ONG Lumière – Synergie pour le Développement.
Les participantes du forum ont invité à intégrer les femmes dans les processus décisionnels, en particulier concernant l’exploitation des ressources énergétiques, comme le gaz. Aby Dia a noté que « des pas restent à franchir » pour assurer cette inclusion.
Cette demande trouve un écho particulier dans le secteur de la pêche, où les femmes jouent un rôle clé dans la transformation et la commercialisation des produits. La présidente de l’Union des femmes transformatrices mareyeuses de Saint-Louis, Fama Sarr, a exprimé ses inquiétudes face aux risques environnementaux liés à l’exploitation gazière, notamment après les informations faisant état d’une possible fuite de gaz sur le projet GTA (Grand Tortue Ahmeyim).
« Cela corrobore les alertes que nous lancions », a-t-elle affirmé. Inquiète pour les communautés de pêcheurs, elle a demandé des éclaircissements de la part des autorités : « Nous invitons l’État à faire la lumière sur cette affaire. Qu’ils disent la vérité aux populations et que BP respecte les communautés des pêcheurs ».