Et pourtant le Sénégal ne dispose pas d’installations sportives dignes de ce nom, un syndrome qui se manifeste dans tous les disciples confondus (Foot Ball, Basket, Hand-ball, Volley Ball Athlétisme...) Le déficit d’infrastructures sportives est un phénomène très visible et il faut réagir pour espérer mieux briller sur la scène continentale et internationale le plus longtemps possible.
Revenons à l’actualité, parler de Basket-ball dans le pays, nous pousse nécessairement à mentionner, l’édifice le plus fréquenté, qui satisfait en tout temps, en toute circonstance les besoins de la balle orange, à Dakar, je voudrai nommer le Stadium Marius Ndiaye. Un terrain qui répondrait aux normes internationales, mais un lieu ou en période d’hivernage on peut patauger sur la piste à cause des fuites d’eaux ruisselant et tombant des toitures. La preuve, lors de la ressente finale du championnat national qui opposait le DUC (Dakar Université Club) au SLBC (Saint-Louis Basket Club) les arbitres avait du mal à siffler le coup d’envoi, tellement que le terrain était glissant, partout des plaques d’eaux, il a fallu attendre quatre bonnes heures d’horloges, pour que la pluie s’arrête et puis procéder aux rituelles de nettoyages.
A Saint-Louis l’unique terrain fréquentable, demeure naturellement le Stadium Josephe Gaye. A cause de la vétusté et de l’état délabrement avancé de l’édifice, s’y ajoutent les menaces de sécurité publique, par arrêté préfectoral, les lieux sont fermés, suite à un rapport accablant de la direction de la protection civile. La salle de Thiès réhabilitée et inauguré en 2007, se trouve aujourd’hui dans un état dégradation progressif, néanmoins continue à recevoir. Dans les autres régions, les compétitions se déroulent sur des terrains, abîmés, troués, ensablés qui ressembleraient plus tôt à la terre battue de Roland Garros qu’un terrain de Basket-ball.
Nos sportifs méritent mieux que ce que l’on leurs propose !
En football à travers tout le pays, figurez-vous que seul le stade Léopold Sédar Senghor répond aux normes internationales, raison pour laquelle lorsque le terrain était suspendu pour un an, suite aux incidents qui ont émaillés le match contre la Cote d’ivoire, match comptant pour les éliminatoires du mondial de 2014, l’équipe nationale de foot se trouvait ainsi dans l’obligation de recevoir, hors du territoire national.
Les autres disciplines (Arts martiaux, Athlétisme, l’équipe de Beach Soccer) sont dans l’hypnose dans sports populaires, aucune valeur ne leurs sont voués, ils courent tout le temps derrière leurs primes, et portant c’est eux qui brillent la plus part du temps la scène continentale.
Ce qu’il nous nous faut d’urgence c’est ce que j’appelle des PPP (Politiques Publiques Prioritaires) une théorie variante applicable dans tous les domaines de vie sociale. Une politique qui toucherait radicalement le secteur sportif, visant à réhabiliter et à construire, dans chaque région, chaque ville, au moins 2 terrains de Basket et de Foot. Une politique qui devrait être accompagnée par : primer et encourager les disciples qui font les plus bons résultats, la réorganisation de la petite catégories, la promouvoir du sport dans les collèges, lycées et universités, relancer et respecter les calendriers sportifs à la base.
Comme ça le Sénégal pourra briller sur la scène internationale, et concurrencé les plus grandes nations de Basket, de Foot, d’Athlétisme, d’art martial… Car la matière est là, le potentiel est là, le crème est là.
Bravo à nos lionnes, vous avez du mérite, car vous venez de relever la nation entière au rang de Rein de la basket africaine, une onzième fois de plus. Et par ricochet le pays le plus titré du le continent : 2015, 2009, 2000,1997, 1993, 1990, 1984, 1981, 1979, 1977, 1974.
Félicitation a vous !
Baydaly Gueye, Un citoyen de la cité.
Etudiant à l’UCAD, Etudes Pratiques de relations internationales, Science politique
Sources :
Wekipedia
Ndarinfo
Seneweb
dakaractu
Revenons à l’actualité, parler de Basket-ball dans le pays, nous pousse nécessairement à mentionner, l’édifice le plus fréquenté, qui satisfait en tout temps, en toute circonstance les besoins de la balle orange, à Dakar, je voudrai nommer le Stadium Marius Ndiaye. Un terrain qui répondrait aux normes internationales, mais un lieu ou en période d’hivernage on peut patauger sur la piste à cause des fuites d’eaux ruisselant et tombant des toitures. La preuve, lors de la ressente finale du championnat national qui opposait le DUC (Dakar Université Club) au SLBC (Saint-Louis Basket Club) les arbitres avait du mal à siffler le coup d’envoi, tellement que le terrain était glissant, partout des plaques d’eaux, il a fallu attendre quatre bonnes heures d’horloges, pour que la pluie s’arrête et puis procéder aux rituelles de nettoyages.
A Saint-Louis l’unique terrain fréquentable, demeure naturellement le Stadium Josephe Gaye. A cause de la vétusté et de l’état délabrement avancé de l’édifice, s’y ajoutent les menaces de sécurité publique, par arrêté préfectoral, les lieux sont fermés, suite à un rapport accablant de la direction de la protection civile. La salle de Thiès réhabilitée et inauguré en 2007, se trouve aujourd’hui dans un état dégradation progressif, néanmoins continue à recevoir. Dans les autres régions, les compétitions se déroulent sur des terrains, abîmés, troués, ensablés qui ressembleraient plus tôt à la terre battue de Roland Garros qu’un terrain de Basket-ball.
Nos sportifs méritent mieux que ce que l’on leurs propose !
En football à travers tout le pays, figurez-vous que seul le stade Léopold Sédar Senghor répond aux normes internationales, raison pour laquelle lorsque le terrain était suspendu pour un an, suite aux incidents qui ont émaillés le match contre la Cote d’ivoire, match comptant pour les éliminatoires du mondial de 2014, l’équipe nationale de foot se trouvait ainsi dans l’obligation de recevoir, hors du territoire national.
Les autres disciplines (Arts martiaux, Athlétisme, l’équipe de Beach Soccer) sont dans l’hypnose dans sports populaires, aucune valeur ne leurs sont voués, ils courent tout le temps derrière leurs primes, et portant c’est eux qui brillent la plus part du temps la scène continentale.
Ce qu’il nous nous faut d’urgence c’est ce que j’appelle des PPP (Politiques Publiques Prioritaires) une théorie variante applicable dans tous les domaines de vie sociale. Une politique qui toucherait radicalement le secteur sportif, visant à réhabiliter et à construire, dans chaque région, chaque ville, au moins 2 terrains de Basket et de Foot. Une politique qui devrait être accompagnée par : primer et encourager les disciples qui font les plus bons résultats, la réorganisation de la petite catégories, la promouvoir du sport dans les collèges, lycées et universités, relancer et respecter les calendriers sportifs à la base.
Comme ça le Sénégal pourra briller sur la scène internationale, et concurrencé les plus grandes nations de Basket, de Foot, d’Athlétisme, d’art martial… Car la matière est là, le potentiel est là, le crème est là.
Bravo à nos lionnes, vous avez du mérite, car vous venez de relever la nation entière au rang de Rein de la basket africaine, une onzième fois de plus. Et par ricochet le pays le plus titré du le continent : 2015, 2009, 2000,1997, 1993, 1990, 1984, 1981, 1979, 1977, 1974.
Félicitation a vous !
Baydaly Gueye, Un citoyen de la cité.
Etudiant à l’UCAD, Etudes Pratiques de relations internationales, Science politique
Sources :
Wekipedia
Ndarinfo
Seneweb
dakaractu