« L’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis (nord) mérite d’avoir un Centre hospitalier universitaire », a estimé son recteur professeur Magatte Ndiaye.
Il s'exprimait samedi en marge de la cérémonie de remise de diplômes à la 7e promotion de médecine de l’Unité de formation et de recherche des Sciences de la santé (UFR 2S).
« Notre ambition, notre projet et notre bataille de tous les jours c’est d’avoir un centre hospitalier universitaire à Saint-Louis », a-t-il lancé. Soulignant : « Avec 350 stagiaires, que nous envoyons […] à l’hôpital de Saint-Louis et tous les chefs de service qui sont là-bas, qui se trouvent être des enseignants-chercheurs de l’Université Gaston Berger, je crois que nous sommes à l’étroit maintenant à Saint-Louis », a-t-il ajouté.
« Donc Saint-Louis mérite d’avoir un centre hospitalier universitaire qui permettra aux enseignants encadreurs de cette université, spécialistes de tous les domaines de la médecine de pouvoir bien exercer leur métier et surtout de prendre en charge toutes les pathologies auxquelles la population saint-louisienne, je dirais plus d’ailleurs la population des pays environnants, est confrontée, pour une bonne prise en charge », a-t-il déclaré en marge de la cérémonie.
Il s'exprimait samedi en marge de la cérémonie de remise de diplômes à la 7e promotion de médecine de l’Unité de formation et de recherche des Sciences de la santé (UFR 2S).
« Notre ambition, notre projet et notre bataille de tous les jours c’est d’avoir un centre hospitalier universitaire à Saint-Louis », a-t-il lancé. Soulignant : « Avec 350 stagiaires, que nous envoyons […] à l’hôpital de Saint-Louis et tous les chefs de service qui sont là-bas, qui se trouvent être des enseignants-chercheurs de l’Université Gaston Berger, je crois que nous sommes à l’étroit maintenant à Saint-Louis », a-t-il ajouté.
« Donc Saint-Louis mérite d’avoir un centre hospitalier universitaire qui permettra aux enseignants encadreurs de cette université, spécialistes de tous les domaines de la médecine de pouvoir bien exercer leur métier et surtout de prendre en charge toutes les pathologies auxquelles la population saint-louisienne, je dirais plus d’ailleurs la population des pays environnants, est confrontée, pour une bonne prise en charge », a-t-il déclaré en marge de la cérémonie.