Cette initiative s’inscrit dans une série d’actions de sensibilisation et de formation visant à mieux outiller les acteurs de première ligne dans la prise en charge des personnes en détresse psychologique.
Cette formation fait suite à une première session organisée en début mars à destination des membres du Comité Départemental de Protection de l’Enfant (CDPE). Elle s’inscrit dans un projet plus large visant à renforcer les compétences des acteurs de terrain.
"Nous avons déjà formé 500 élèves de l’IEF de Saint-Louis en coaching, et nous allons bientôt former 500 enseignants. Aujourd’hui, nous avons capacité 36 Bajenu Gox pour être des intervenantes de première ligne. Nous leur donnons des outils pour écouter et accompagner les personnes en difficulté psychologique. En cas de complications, elles peuvent référer aux spécialistes", a expliqué le professeur Assane Diakhaté, directeur de l’UFR SEFS.
L’urgence de renforcer la prise en charge psychologique au Sénégal se fait de plus en plus pressante. "La situation de la santé mentale est très préoccupante. Nous avons créé une unité dédiée à l’UGB pour offrir des formations en la matière. Actuellement, le pays ne compte que 35 psychiatres pour 18 millions d’habitants, et seulement deux psychologues à l’Université Gaston Berger", a déploré le professeur Diakhaté, soulignant le manque criant de ressources humaines et d’infrastructures adaptées pour répondre aux besoins croissants en santé mentale.
Au terme de la formation, Nafissatou Diop, présidente régionale des Bajenu Gox de Saint-Louis, a exprimé sa gratitude envers Enda Jeunesse Action et les formateurs pour la qualité de la session.
"Nous allons dupliquer cette formation auprès des autres membres sur le terrain", a-t-elle assuré, soulignant l’importance de diffuser ces nouvelles compétences au sein des communautés pour une meilleure prise en charge des personnes en détresse psychologique.
Cette formation fait suite à une première session organisée en début mars à destination des membres du Comité Départemental de Protection de l’Enfant (CDPE). Elle s’inscrit dans un projet plus large visant à renforcer les compétences des acteurs de terrain.
"Nous avons déjà formé 500 élèves de l’IEF de Saint-Louis en coaching, et nous allons bientôt former 500 enseignants. Aujourd’hui, nous avons capacité 36 Bajenu Gox pour être des intervenantes de première ligne. Nous leur donnons des outils pour écouter et accompagner les personnes en difficulté psychologique. En cas de complications, elles peuvent référer aux spécialistes", a expliqué le professeur Assane Diakhaté, directeur de l’UFR SEFS.
L’urgence de renforcer la prise en charge psychologique au Sénégal se fait de plus en plus pressante. "La situation de la santé mentale est très préoccupante. Nous avons créé une unité dédiée à l’UGB pour offrir des formations en la matière. Actuellement, le pays ne compte que 35 psychiatres pour 18 millions d’habitants, et seulement deux psychologues à l’Université Gaston Berger", a déploré le professeur Diakhaté, soulignant le manque criant de ressources humaines et d’infrastructures adaptées pour répondre aux besoins croissants en santé mentale.
Au terme de la formation, Nafissatou Diop, présidente régionale des Bajenu Gox de Saint-Louis, a exprimé sa gratitude envers Enda Jeunesse Action et les formateurs pour la qualité de la session.
"Nous allons dupliquer cette formation auprès des autres membres sur le terrain", a-t-elle assuré, soulignant l’importance de diffuser ces nouvelles compétences au sein des communautés pour une meilleure prise en charge des personnes en détresse psychologique.