Des médicaments pédiatriques seraient à l’origine de plus de 60 décès causés par des lésions rénales aigues dans le pays de la Gambie. Depuis une semaine les cas s’accumulent poussant le ministre de la santé gambienne a initié, avec l’appui de la croix rouge, une campagne de porte à porte pour retirer ces médicaments.
Au nombre de quatre pour le traitement de la toux de l’enfant et du nourrisson, le fabriquant de ces molécules est le laboratoire Maiden pharmaceuticals limited (Hariana en Inde). Face à cette situation et à l’appel de l’organisation mondiale de la santé à l’endroit des pays voisins à redoubler de vigilance, le Sénégal a réagi hier, jeudi 6 octobre à travers un communiqué. Selon l’agence nationale de la réglementation pharmaceutique (Arp) soutenant que « les produits incriminés ne détiennent pas une autorisation de mise sur le marché au Sénégal».
Concernant les produits, il s’agit de la prométhazine présentée sous forme de solution orale, le koflexmalin ainsi que le Makoff qui sont des sirops contre la toux du bébé et le Magrip qui est un sirop contre la toux pour le nourrisson. Pour l’Arp «le Sénégal a été informé par alerte référenciée en date du 5 octobre dernier par l’Oms de produits de pédiatrique de qualité inférieure (contaminées) détectée dans la région de l’Oms Afrique. L’analyse en laboratoire d’échantillon des produits à confirmer une contamination par diethylène, glycol et ethylen glycol en quantité inacceptable».
Et de poursuivre : «les effets toxiques se manifestent par des douleurs abdominales, des vomissements des diarrhées, une incapacité à uriner, des maux de tête, une altération de l’état mental et des lésions rénales aigues pouvant entrainer la mort». L’ARP précise que les produits incriminés ne détiennent pas une autorisation de mise sur le marché (AMM) au Sénégal.
Toutefois, le ministère de la santé et de l’action sociale (msas) a appelé les populations à doubler de vigilance et a demandé aux professionnels de la santé d’intensifier la surveillance et à notifier tout cas de suspicion ou de découverte de ces produits sur le territoire sénégalais.
Au niveau de l’OMS, les experts en médicaments ont renseigné : «les produits médicaux de qualité inférieure sont ceux qui ne répondent pas à leurs normes de qualité ou spécifications. Les quatre produits incriminés, à ce jour, l’industrie pharmaceutique maiden n’a pas fourni de garanties à l’Oms sur la sureté et la qualité de ces produits».
Et de renchérir : «l’analyse en laboratoire d’échantillon de chacun de ces quatre médicaments confirme une contamination par diéthylène glycol et éthylène glycol en quantité inacceptable. A ce jour, ces quatre produits identifiés en Gambie, mais peuvent avoir été distribués par le biais de marchés informels dans d’autres pays ou régions.»
Au nombre de quatre pour le traitement de la toux de l’enfant et du nourrisson, le fabriquant de ces molécules est le laboratoire Maiden pharmaceuticals limited (Hariana en Inde). Face à cette situation et à l’appel de l’organisation mondiale de la santé à l’endroit des pays voisins à redoubler de vigilance, le Sénégal a réagi hier, jeudi 6 octobre à travers un communiqué. Selon l’agence nationale de la réglementation pharmaceutique (Arp) soutenant que « les produits incriminés ne détiennent pas une autorisation de mise sur le marché au Sénégal».
Concernant les produits, il s’agit de la prométhazine présentée sous forme de solution orale, le koflexmalin ainsi que le Makoff qui sont des sirops contre la toux du bébé et le Magrip qui est un sirop contre la toux pour le nourrisson. Pour l’Arp «le Sénégal a été informé par alerte référenciée en date du 5 octobre dernier par l’Oms de produits de pédiatrique de qualité inférieure (contaminées) détectée dans la région de l’Oms Afrique. L’analyse en laboratoire d’échantillon des produits à confirmer une contamination par diethylène, glycol et ethylen glycol en quantité inacceptable».
Et de poursuivre : «les effets toxiques se manifestent par des douleurs abdominales, des vomissements des diarrhées, une incapacité à uriner, des maux de tête, une altération de l’état mental et des lésions rénales aigues pouvant entrainer la mort». L’ARP précise que les produits incriminés ne détiennent pas une autorisation de mise sur le marché (AMM) au Sénégal.
Toutefois, le ministère de la santé et de l’action sociale (msas) a appelé les populations à doubler de vigilance et a demandé aux professionnels de la santé d’intensifier la surveillance et à notifier tout cas de suspicion ou de découverte de ces produits sur le territoire sénégalais.
Au niveau de l’OMS, les experts en médicaments ont renseigné : «les produits médicaux de qualité inférieure sont ceux qui ne répondent pas à leurs normes de qualité ou spécifications. Les quatre produits incriminés, à ce jour, l’industrie pharmaceutique maiden n’a pas fourni de garanties à l’Oms sur la sureté et la qualité de ces produits».
Et de renchérir : «l’analyse en laboratoire d’échantillon de chacun de ces quatre médicaments confirme une contamination par diéthylène glycol et éthylène glycol en quantité inacceptable. A ce jour, ces quatre produits identifiés en Gambie, mais peuvent avoir été distribués par le biais de marchés informels dans d’autres pays ou régions.»