Que vient donc faire Robert Bourgi dans ce microcosme sénégalais qu’il snobait tant, quand tout, en France et dans d’autres dictatures africaines, marchait bien pour lui?
Quel deal a-t-il scellé avec le pouvoir «aperiste » dans ses «temps-morts », pour croire devoir comme un cheveu dans la soupe, venir se mêler de choses qui ne le regardent pas?
En ma qualité de Conseiller en Communication du candidat Samuel Ahmet SARR, j’ai beaucoup hésité à répondre au «torpilleur sur commande» de François FILLON lors de la dernière présidentielle française. Mais le sérieux avec lequel la situation politique actuelle doit être traitée, mérite bien le rappel à l’ordre de ce grand amuseur public de la défunte francafrique.
Le fait qu’il semble être dans un jeu de composition avec le pouvoir en place est d’autant plus inquiétant que les notes émises sont d’un abject à nulle autre pareil. Qui est donc Monsieur Bourgi pour être l’arbitre de la Sénégalité de Monsieur Karim Wade ou le marqueur de la fin de carrière politique d’un Idrissa SECK? De quelle connivence bénéficie-t-il pour être dans le secret des contacts de son « nouvel ami » Macky Sall?
Ce souteneur a perdu certainement son influence avec le nouveau changement du système politique en France, marqué par l’émergence d’une nouvelle génération d’hommes politiques, pour venir se pavaner encore au Sénégal à la recherche de quelques privilèges illicites.
Le Sénégal est un pays souverain et les Sénégalais savent voter et choisir en toute lucidité leurs élus sans l’avis de ce marchand ambulant, rat des palais présidentiels africains.
Les Sénégalais méritent mieux que de s’attarder à écouter ce petit monsieur avec une courte pensée, qui se croit investi d’une mission pour indiquer le chemin à suivre aux électeurs sénégalais.
Cet homme a une relation trouble avec la vérité et l’argent. Il peut mélanger dans sa bouche viande et poisson sans avoir la nausée. Bourgi est un genre atypique en voie de disparition.
En réalité, toute cette opération de Com' a comme seul but d’entrer dans les grâces d’un Macky Sall en fin de règne. Le président sénégalais a été mal inspiré, en acceptant de s’allier avec cet homme qui n’a jamais eu à connaître le sens de la crédibilité.
Il doit comprendre définitivement que les Sénégalais déçus pour la majorité, sont résolus et sont engagés dans la voie du changement irréversible.
Cet homme déshonnête vit aujourd’hui une angoisse existentielle après le déclin de son influence au Gabon, en Côte d’Ivoire, en Guinée et l’affirmation sur la scène politique sénégalaise de nouveaux leaders et cadres candidats à la présidentielle, loin des combines avec les cabinets noirs et qui ont comme souci principal le développement du pays et du continent africain.
L’option prise par cette nouvelle classe politique sénégalaise, c’est la libération de l’Afrique. Les Sénégalais se demanderont encore qu’a fait Macky SALL pour mériter «ce colis piégé» ?
Khadim BITEYE
Membre du parti Libéral Social Sénégalais (LSS)
Du Président Samuel A. Sarr, Candidat à la présidentielle
Quel deal a-t-il scellé avec le pouvoir «aperiste » dans ses «temps-morts », pour croire devoir comme un cheveu dans la soupe, venir se mêler de choses qui ne le regardent pas?
En ma qualité de Conseiller en Communication du candidat Samuel Ahmet SARR, j’ai beaucoup hésité à répondre au «torpilleur sur commande» de François FILLON lors de la dernière présidentielle française. Mais le sérieux avec lequel la situation politique actuelle doit être traitée, mérite bien le rappel à l’ordre de ce grand amuseur public de la défunte francafrique.
Le fait qu’il semble être dans un jeu de composition avec le pouvoir en place est d’autant plus inquiétant que les notes émises sont d’un abject à nulle autre pareil. Qui est donc Monsieur Bourgi pour être l’arbitre de la Sénégalité de Monsieur Karim Wade ou le marqueur de la fin de carrière politique d’un Idrissa SECK? De quelle connivence bénéficie-t-il pour être dans le secret des contacts de son « nouvel ami » Macky Sall?
Ce souteneur a perdu certainement son influence avec le nouveau changement du système politique en France, marqué par l’émergence d’une nouvelle génération d’hommes politiques, pour venir se pavaner encore au Sénégal à la recherche de quelques privilèges illicites.
Le Sénégal est un pays souverain et les Sénégalais savent voter et choisir en toute lucidité leurs élus sans l’avis de ce marchand ambulant, rat des palais présidentiels africains.
Les Sénégalais méritent mieux que de s’attarder à écouter ce petit monsieur avec une courte pensée, qui se croit investi d’une mission pour indiquer le chemin à suivre aux électeurs sénégalais.
Cet homme a une relation trouble avec la vérité et l’argent. Il peut mélanger dans sa bouche viande et poisson sans avoir la nausée. Bourgi est un genre atypique en voie de disparition.
En réalité, toute cette opération de Com' a comme seul but d’entrer dans les grâces d’un Macky Sall en fin de règne. Le président sénégalais a été mal inspiré, en acceptant de s’allier avec cet homme qui n’a jamais eu à connaître le sens de la crédibilité.
Il doit comprendre définitivement que les Sénégalais déçus pour la majorité, sont résolus et sont engagés dans la voie du changement irréversible.
Cet homme déshonnête vit aujourd’hui une angoisse existentielle après le déclin de son influence au Gabon, en Côte d’Ivoire, en Guinée et l’affirmation sur la scène politique sénégalaise de nouveaux leaders et cadres candidats à la présidentielle, loin des combines avec les cabinets noirs et qui ont comme souci principal le développement du pays et du continent africain.
L’option prise par cette nouvelle classe politique sénégalaise, c’est la libération de l’Afrique. Les Sénégalais se demanderont encore qu’a fait Macky SALL pour mériter «ce colis piégé» ?
Khadim BITEYE
Membre du parti Libéral Social Sénégalais (LSS)
Du Président Samuel A. Sarr, Candidat à la présidentielle