Dans l’entourage d’Abdoulaye Wade, il est venu le temps de discuter avec des membres de l’opposition et pas n’importe lesquels. Or, les personnes de son entourage susceptibles de pouvoir prendre langue avec de telles personnalités ne sont pas légion. Seules deux personnes sont à même de pouvoir ouvrir des pourparlers avec ces caciques de la politique auxquels le pape du Sopi a dit vouloir s’ouvrir dans sa déclaration d’hier lundi.
Il y a d’abord Souleymane Ndéné Ndiaye, homme de consensus, considéré par beaucoup comme un gentleman, ouvert et fidèle en amitié. Le Premier ministre peut parler à la fois à des hommes comme Idrissa Seck, Youssou Ndour, Bara Tall, voire Ousmane Tanor Dieng. Il y a aussi et surtout le président du Sénat, Pape Diop, qui, d’ailleurs, dès le 26 au soir, a appelé un proche du président de la République pour lui dire qu’il entreprenait dès ce moment des contacts avec l’opposition.
Pape Diop a des bons rapports avec presque toute la classe politique. D’abord avec une homme emblêmatique comme Amath Dansokho, avec lequel il entretient des relations privilégiées, mais aussi avec Ousmane Tanor Dieng, Idrissa Seck, ou encore Youssou Ndour. Il demeure la pièce essentielle du dispositif de « drague » de Wade vis-à-vis de l’opposition, et n’a pas perdu de temps à prendre des contacts.
Mais rien ne garantit qu’il va réussir à convaincre une seule figure de l’opposition àn rejoindre Wade dans ce qui ressemble quand même à une tourmente politique.
Il y a d’abord Souleymane Ndéné Ndiaye, homme de consensus, considéré par beaucoup comme un gentleman, ouvert et fidèle en amitié. Le Premier ministre peut parler à la fois à des hommes comme Idrissa Seck, Youssou Ndour, Bara Tall, voire Ousmane Tanor Dieng. Il y a aussi et surtout le président du Sénat, Pape Diop, qui, d’ailleurs, dès le 26 au soir, a appelé un proche du président de la République pour lui dire qu’il entreprenait dès ce moment des contacts avec l’opposition.
Pape Diop a des bons rapports avec presque toute la classe politique. D’abord avec une homme emblêmatique comme Amath Dansokho, avec lequel il entretient des relations privilégiées, mais aussi avec Ousmane Tanor Dieng, Idrissa Seck, ou encore Youssou Ndour. Il demeure la pièce essentielle du dispositif de « drague » de Wade vis-à-vis de l’opposition, et n’a pas perdu de temps à prendre des contacts.
Mais rien ne garantit qu’il va réussir à convaincre une seule figure de l’opposition àn rejoindre Wade dans ce qui ressemble quand même à une tourmente politique.