La lumière doit jaillir de l'ombre. C'est la ferme conviction du Président Malick Gackou. La femme qui est le noyau de la famille doit être consciente de sa condition pour asseoir sa notoriété au sein de son foyer de manière à le transposer sur sa vie publique. Elle constitue un soutien essentiel dans son engagement politique, car sa lutte est celle de la famille. La cohésion d'une démarche collective ne peut s'obtenir que si les besoins, de tous les individus composant la société, sont satisfaits, tout en respectant la liberté individuelle et la définition précise du rôle de chaque membre.
Ainsi, la femme a les moyens de projeter à travers le monde une image de bonheur, de responsabilité et de dignité en toute première ligne, sur le devant de la scène où son savoir, son intelligence, ses talents, son mérite l'ont fait accéder.
Au GRAND PARTI, elle cesse de demander son émancipation et de dénoncer la tradition pour proposer des idées et des solutions pertinentes pour le bon fonctionnement de la communauté. Sur ce plan, elle est une actrice engagée. La cognition d'une telle détermination porte à penser que ses activités ne doivent pas être uniquement circonscrites en termes d'opposition à celles de l'homme, mais l'angle d'une complémentarité différenciée.
L'expression de la femme face à cette participation à la vie publique n'est pas nouvelle en soi. La nécessité d'inciter et de soutenir la participation des femmes au processus de développement a été reconnue comme un objectif rentable. Ainsi, pour mieux déterminer la contribution de celles-là, leurs besoins spécifiques, en vue de maximiser leur rapport avec le développement, il est essentiel de définir des stratégies et des méthodologies nouvelles en matière d'information et de formation qui tiennent compte de leurs aspirations.
De ce fait, la femme vise les discours piquant le développement, l'importance de l'économie et de la politique. Connue pour son dévouement, sa constante présence au sein de la communauté, les Africaines n'ont jamais été aussi sollicitées pour accéder aux premiers postes de leurs Etats. Lorsqu'elle tend à redéfinir sa place, elle restitue ce qu'elle a perdu par ignorance. A l'heure actuelle, ne pas intervenir dans les réflexions publiques consisterait pour la Sénégalaise de se confiner à un cadre inférieur à sa valeur. Toutes les femmes de toutes les couches sont convoquées car AMADOU HAMPTE BA disait que «lorsqu'il y avait une assemblée sous l'arbre à palabre les femmes n'étaient pas conviées mais les sages dignitaires avaient la prudence de renvoyer la séance pour prendre une décision finale prétextant qu'ils devaient parler à leur oreiller qui n'était autre qu'une figure féminine soit la mère, l'épouse ou la grande soeur». Elles sont les ouvrières de l'ombre.
Merci de renforcer, Président, notre conviction que la femme peut être la solution aux maux chroniques du pays, car elle ne manquera pas à l'appel de cette démarche vers la délivrance. Le meilleur qu'elle a hérité de la tradition l'y aidera. Celle-ci lui a en effet enseigné le culte du partage et d'une solidarité sans frontière. Elle détient la force de la générosité au sens le plus vrai du terme: savoir donner du fond du coeur par altruisme et par amour.
Sawdiatou KANE, GP Saint-Louis
Ainsi, la femme a les moyens de projeter à travers le monde une image de bonheur, de responsabilité et de dignité en toute première ligne, sur le devant de la scène où son savoir, son intelligence, ses talents, son mérite l'ont fait accéder.
Au GRAND PARTI, elle cesse de demander son émancipation et de dénoncer la tradition pour proposer des idées et des solutions pertinentes pour le bon fonctionnement de la communauté. Sur ce plan, elle est une actrice engagée. La cognition d'une telle détermination porte à penser que ses activités ne doivent pas être uniquement circonscrites en termes d'opposition à celles de l'homme, mais l'angle d'une complémentarité différenciée.
L'expression de la femme face à cette participation à la vie publique n'est pas nouvelle en soi. La nécessité d'inciter et de soutenir la participation des femmes au processus de développement a été reconnue comme un objectif rentable. Ainsi, pour mieux déterminer la contribution de celles-là, leurs besoins spécifiques, en vue de maximiser leur rapport avec le développement, il est essentiel de définir des stratégies et des méthodologies nouvelles en matière d'information et de formation qui tiennent compte de leurs aspirations.
De ce fait, la femme vise les discours piquant le développement, l'importance de l'économie et de la politique. Connue pour son dévouement, sa constante présence au sein de la communauté, les Africaines n'ont jamais été aussi sollicitées pour accéder aux premiers postes de leurs Etats. Lorsqu'elle tend à redéfinir sa place, elle restitue ce qu'elle a perdu par ignorance. A l'heure actuelle, ne pas intervenir dans les réflexions publiques consisterait pour la Sénégalaise de se confiner à un cadre inférieur à sa valeur. Toutes les femmes de toutes les couches sont convoquées car AMADOU HAMPTE BA disait que «lorsqu'il y avait une assemblée sous l'arbre à palabre les femmes n'étaient pas conviées mais les sages dignitaires avaient la prudence de renvoyer la séance pour prendre une décision finale prétextant qu'ils devaient parler à leur oreiller qui n'était autre qu'une figure féminine soit la mère, l'épouse ou la grande soeur». Elles sont les ouvrières de l'ombre.
Merci de renforcer, Président, notre conviction que la femme peut être la solution aux maux chroniques du pays, car elle ne manquera pas à l'appel de cette démarche vers la délivrance. Le meilleur qu'elle a hérité de la tradition l'y aidera. Celle-ci lui a en effet enseigné le culte du partage et d'une solidarité sans frontière. Elle détient la force de la générosité au sens le plus vrai du terme: savoir donner du fond du coeur par altruisme et par amour.
Sawdiatou KANE, GP Saint-Louis