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Les trois derniers cas d’incendie à Saint-Louis soulèvent l’impérieuse nécessité pour la Commune de Saint-Louis d’affecter aux vaillants éléments du contingent de la brigade nationale des Sapeurs Pompiers, une nouvelle base dans le SOR.
Appelés à intervenir en cas d’incendie, les soldats du feu peinent à rallier le SOR, bloqués sur le pont Faidherbe par des embrouillages qui deviennent de plus en plus récurrents.
N’eût été leur présence à l’opération de lavage du pont, l’incendie du 17 avril dernier à Ndiolofène allait se muter en catastrophe. Les hommes ont pu détacher un camion-citerne en usage pour cette manœuvre sur l’ouvrage métallique pour se rendre sur les lieux et maitriser les flammes.
Pour celui de Léona, ils ont du faire face à l’affluence matinale de véhicules qui submerge le pont, avant de se rendre à KHOR pour alimenter la citerne.
Mieux, l’accident tragique du 05 mars dernier, à l’entrée de Saint-Louis, faisant état de près d’une vingtaine de morts, accentue la demande.
La lutte contre les incendies à Saint-Louis passe également par l’éradication des stations d’essence anarchiquement installées sur la langue de Barbarie.
On compte une vingtaine de stations de distribution d’hydrocarbures implantées à proximité des maisons dans cette partie de Saint-Louis. Une bombe qui risque d’exploser à tout monde.
Puisque « gouverner, c’est prévoir », il urge pour les autorités prendre les mesures idoines pour freiner l’apocalypse rampant.
NDARINFO.COM
Appelés à intervenir en cas d’incendie, les soldats du feu peinent à rallier le SOR, bloqués sur le pont Faidherbe par des embrouillages qui deviennent de plus en plus récurrents.
N’eût été leur présence à l’opération de lavage du pont, l’incendie du 17 avril dernier à Ndiolofène allait se muter en catastrophe. Les hommes ont pu détacher un camion-citerne en usage pour cette manœuvre sur l’ouvrage métallique pour se rendre sur les lieux et maitriser les flammes.
Pour celui de Léona, ils ont du faire face à l’affluence matinale de véhicules qui submerge le pont, avant de se rendre à KHOR pour alimenter la citerne.
Mieux, l’accident tragique du 05 mars dernier, à l’entrée de Saint-Louis, faisant état de près d’une vingtaine de morts, accentue la demande.
La lutte contre les incendies à Saint-Louis passe également par l’éradication des stations d’essence anarchiquement installées sur la langue de Barbarie.
On compte une vingtaine de stations de distribution d’hydrocarbures implantées à proximité des maisons dans cette partie de Saint-Louis. Une bombe qui risque d’exploser à tout monde.
Puisque « gouverner, c’est prévoir », il urge pour les autorités prendre les mesures idoines pour freiner l’apocalypse rampant.
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