Face à des milliers de ”Patriotes” venus lui témoigner leur soutien, ce dimanche 22 janvier 2023, au terrain Yekini de Keur Massar, Ousmane Sonko a défié le régime de Macky Sall qui chercherait, selon lui, à l’écarter de la présidentielle de 2024 par le dossier Sweet beauté (accusations de viol présumé sur la masseuse Adji Sarr). Le leader de Pastef, galvanisé à bloc, se dit prêt au ”combat” jusqu’à y laisser sa vie.
”J’ai déjà déjà rédigé mon testament, fulmine-t-il. Hier à Ziguinchor je me suis rendu à la tombe de mon père et j’ai demandé à ma mère de prier pour moi. Je suis prêt à laisser ma vie dans ce combat”. Sonko n’entend pas se livrer pieds et poings liés à ”des magistrats comploteurs choisis par Macky Sall”.
”Ce sera Macky Sall ou nous. Le combat est inévitable. A la guerre comme à la guerre. Qu’il parle d’appel à l’insurrection m’est égal”, lâche le maire de Ziguinchor qui a demandé à ses partisans de se tenir prêts. ”S’ils veulent la paix, ils l’auront. S’ils veulent la confrontation, ils seront servis”, jure-t-il.
”J’ai déjà déjà rédigé mon testament, fulmine-t-il. Hier à Ziguinchor je me suis rendu à la tombe de mon père et j’ai demandé à ma mère de prier pour moi. Je suis prêt à laisser ma vie dans ce combat”. Sonko n’entend pas se livrer pieds et poings liés à ”des magistrats comploteurs choisis par Macky Sall”.
”Ce sera Macky Sall ou nous. Le combat est inévitable. A la guerre comme à la guerre. Qu’il parle d’appel à l’insurrection m’est égal”, lâche le maire de Ziguinchor qui a demandé à ses partisans de se tenir prêts. ”S’ils veulent la paix, ils l’auront. S’ils veulent la confrontation, ils seront servis”, jure-t-il.