Aujourd’hui, le Sénégal est devenu le 7ème pays africain où le programme est lancé. Un mémorandum, en ce sens, avait été signé au mois de juin, entre AstraZeneca et le ministère de la Santé et de l’action sociale.
«L’objectif du programme est de contribuer à la prévention et le contrôle des maladies cardiovasculaires dans le pays, en portant une attention particulière à l’hypertension», a ainsi décliné le document, indiquant que le programme va être déployé dans les régions de Dakar, Thiès et Saint-Louis. «Notre approche des soins de santé primaires a toujours été centrée sur les personnes et guidée par les données. Nous utiliserons cette approche pour notre déploiement au Sénégal, afin d’atteindre les personnes, là où elles vivent et travaillent, et les diriger vers des soins de qualité pour l’hypertension, conformément à notre mission de réduction des inégalités, en matière de santé», a relevé Aminatou Sar, directrice Hub Afrique de l’Ouest et Sénégal à Path (structure ayant mis en œuvre le projet au Sénégal). Pour une meilleure efficience, le programme va contribuer au renforcement des systèmes de santé, grâce à la formation des prestataires de soins.
Depuis son lancement au Kenya en 2014, Hha a formé plus de 8.500 professionnels de la santé à l’éducation, pour assurer l’éducation et la sensibilisation, le dépistage et le traitement de l’hypertension au renforcement des systèmes de santé, grâce à la formation des prestataires de soins. Le document, qui a donné ces précisions, a révélé en outre qu’il a mis en marche 900 établissements de santé en Afrique, pour fournir des services d’hypertension et identifier 4,1 millions de lectures de pression artérielle élevée. Des centaines de personnes ont été dépistées à l’Hta et au diabète, à la cérémonie de lancement du programme, présidé par le conseiller technique no2 du ministère de la Santé, Dr Malick Ndiaye, et la représentante de Hha, Barbara Neil.
abndiaye@lequotidien.sn
«L’objectif du programme est de contribuer à la prévention et le contrôle des maladies cardiovasculaires dans le pays, en portant une attention particulière à l’hypertension», a ainsi décliné le document, indiquant que le programme va être déployé dans les régions de Dakar, Thiès et Saint-Louis. «Notre approche des soins de santé primaires a toujours été centrée sur les personnes et guidée par les données. Nous utiliserons cette approche pour notre déploiement au Sénégal, afin d’atteindre les personnes, là où elles vivent et travaillent, et les diriger vers des soins de qualité pour l’hypertension, conformément à notre mission de réduction des inégalités, en matière de santé», a relevé Aminatou Sar, directrice Hub Afrique de l’Ouest et Sénégal à Path (structure ayant mis en œuvre le projet au Sénégal). Pour une meilleure efficience, le programme va contribuer au renforcement des systèmes de santé, grâce à la formation des prestataires de soins.
Depuis son lancement au Kenya en 2014, Hha a formé plus de 8.500 professionnels de la santé à l’éducation, pour assurer l’éducation et la sensibilisation, le dépistage et le traitement de l’hypertension au renforcement des systèmes de santé, grâce à la formation des prestataires de soins. Le document, qui a donné ces précisions, a révélé en outre qu’il a mis en marche 900 établissements de santé en Afrique, pour fournir des services d’hypertension et identifier 4,1 millions de lectures de pression artérielle élevée. Des centaines de personnes ont été dépistées à l’Hta et au diabète, à la cérémonie de lancement du programme, présidé par le conseiller technique no2 du ministère de la Santé, Dr Malick Ndiaye, et la représentante de Hha, Barbara Neil.
abndiaye@lequotidien.sn