« Le but qui a été recherché dans ce dialogue, c’est de piéger l’opposition pour les amener à légaliser ou cautionner le report des élections. Et, il n’en ressortira rien. Et, il se trouve que c’est ça qui est lamentable et déplorable », fulmine Cheikh Bamba Dièye.
« En réalité, poursuit le député de l’opposition, ce qu’il faut comme correction dans le dispositif électoral, n’importe lequel parmi les acteurs politiques même le moins instruit, est capable de le faire en moins d’une heure. S’il y avait volonté réelle de consolider l’état de droit et de réorganiser notre système électoral, les choses se feront parce que les gens ont déjà travaillé depuis très longtemps dans cette direction-là ».
Sur le rôle de l’administration dans le processus électoral, M. Dièye de déclarer : « la déliquescence de l’administration, cette gangrène, elle nous poursuit partout parce que, quoi que l’on puisse dire, de manière directe ou indirecte, l’administration est interpellée dans la gestion du processus électoral, elle est interpellée de manière directe, dans la gestion au quotidien de notre pays ».
À l’en croire, si l’administration est éclopant, si elle ne répand pas, ne répond plus aux règles qui administrent une bonne administration, « je vais donc comprendre que nous n’avons pas de fondement. Et, de ce point de vue, l’état de droit n’existe plus ».
« De ce point de vue, ajoute l’invité de l’émission Objection de ce dimanche 27 octobre, nous perdons, du point de vue de la lutte pour la réduction des comptes, nous perdons en qualité cette transparence, nous perdrons le respect du calendrier républicain, nous ne savons plus quand est-ce que les élections locales vont se tenir et il y a une menace directe sur les législatives », avance-t-il.
L’ex-maire de la région de Saint-Louis de pester : « Dans quel pays sommes-nous ? Est-ce que tout le combat de 2011, est-ce que tous les sacrifices qui ont mené par des citoyens dont certains ont payé le prix de leur vie pour que le Sénégal reste un état de droit. Est-ce que tout ce combat-là doit aujourd’hui aboutir à ce capharnaüm dans lequel on ne sait plus comment ni comment les choses vont se faire», se questionne-t-il.
SENENEWS
« En réalité, poursuit le député de l’opposition, ce qu’il faut comme correction dans le dispositif électoral, n’importe lequel parmi les acteurs politiques même le moins instruit, est capable de le faire en moins d’une heure. S’il y avait volonté réelle de consolider l’état de droit et de réorganiser notre système électoral, les choses se feront parce que les gens ont déjà travaillé depuis très longtemps dans cette direction-là ».
Sur le rôle de l’administration dans le processus électoral, M. Dièye de déclarer : « la déliquescence de l’administration, cette gangrène, elle nous poursuit partout parce que, quoi que l’on puisse dire, de manière directe ou indirecte, l’administration est interpellée dans la gestion du processus électoral, elle est interpellée de manière directe, dans la gestion au quotidien de notre pays ».
À l’en croire, si l’administration est éclopant, si elle ne répand pas, ne répond plus aux règles qui administrent une bonne administration, « je vais donc comprendre que nous n’avons pas de fondement. Et, de ce point de vue, l’état de droit n’existe plus ».
« De ce point de vue, ajoute l’invité de l’émission Objection de ce dimanche 27 octobre, nous perdons, du point de vue de la lutte pour la réduction des comptes, nous perdons en qualité cette transparence, nous perdrons le respect du calendrier républicain, nous ne savons plus quand est-ce que les élections locales vont se tenir et il y a une menace directe sur les législatives », avance-t-il.
L’ex-maire de la région de Saint-Louis de pester : « Dans quel pays sommes-nous ? Est-ce que tout le combat de 2011, est-ce que tous les sacrifices qui ont mené par des citoyens dont certains ont payé le prix de leur vie pour que le Sénégal reste un état de droit. Est-ce que tout ce combat-là doit aujourd’hui aboutir à ce capharnaüm dans lequel on ne sait plus comment ni comment les choses vont se faire», se questionne-t-il.
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