Les réactions continue de tomber suite à la polémique suscitée sur la déclaration de politique générale du premier ministre Ousmane SONKO.
Dans un post publié sur ses réseaux sociaux, l’expert électoral Ndiaga SYLLA n’avait aucun intérêt à se hâter pour faire sa déclaration de politique générale vu la configuration actuelle de la représentation nationale dominée par l’opposition.
« Face à la configuration de l’AN, le Premier ministre n’avait aucun intérêt à se hâter pour faire sa DPG », a-t-il souligné.
Selon lui cette configuration actuelle est suscitée par une difficile « cohabitation ».
« A présent, la balle est dans le camp du Président de la République qui aura l’opportunité de dissoudre l’Assemblée nationale avant l’ouverture de la prochaine session », précisant
L’expert électoral estime qu’au delà la carence du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale (RIAN), la controverse autour de la Déclaration de politique générale (DPG) « est plus politique que juridique. »
Toutefois, rappelle-t-il, que « la dissolution de l’Assemblée nationale ne peut intervenir avant le 13 septembre 2024, en vertu de la Constitution, article 87, alinéa 2. »
Vendredi, le premier ministre Ousmane SONKO a lancé un ultimatum à l’assemblée nationale aux fins de rétablir les dispositions relatives au premier ministre dans son règlement avant le 15 juillet 2024.
WALF
Dans un post publié sur ses réseaux sociaux, l’expert électoral Ndiaga SYLLA n’avait aucun intérêt à se hâter pour faire sa déclaration de politique générale vu la configuration actuelle de la représentation nationale dominée par l’opposition.
« Face à la configuration de l’AN, le Premier ministre n’avait aucun intérêt à se hâter pour faire sa DPG », a-t-il souligné.
Selon lui cette configuration actuelle est suscitée par une difficile « cohabitation ».
« A présent, la balle est dans le camp du Président de la République qui aura l’opportunité de dissoudre l’Assemblée nationale avant l’ouverture de la prochaine session », précisant
L’expert électoral estime qu’au delà la carence du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale (RIAN), la controverse autour de la Déclaration de politique générale (DPG) « est plus politique que juridique. »
Toutefois, rappelle-t-il, que « la dissolution de l’Assemblée nationale ne peut intervenir avant le 13 septembre 2024, en vertu de la Constitution, article 87, alinéa 2. »
Vendredi, le premier ministre Ousmane SONKO a lancé un ultimatum à l’assemblée nationale aux fins de rétablir les dispositions relatives au premier ministre dans son règlement avant le 15 juillet 2024.
WALF