Bon nombre de maladies non transmissibles liées à la mauvaise alimentation prennent des proportions insoupçonnées dans certaines régions du Sénégal. A Saint Louis par exemple, une étude réalisée en 2009 et publiée l’année suivante a conclu que 48% de personnes sont atteintes d’hypertension, 10% de diabète et 46% de troubles liés à la graisse. Depuis, la situation s'amplifie. Les conséquences sont désastreuses.
Le Pr Said Nourou Diop qui a rendu publique cette étude ce mardi à Lagos (Nigéria), en marge du Forum régional de création de la valeur partagée, précise néanmoins qu’elle est réalisée à partir d’un échantillon représentatif de 1500 personneset démontre que les sénégalais mangent mal.
Se confiant à nos confrères du « Quotidien », Pr Diop met cette mauvaise habitude alimentaire sur le compte des bouillons utilisés au cours des repas. Par ailleurs, « il y a encore 20 ans, le Sénégal n’avait pas 5% d’hypertendus. Mais c’est en 1990 à Pikine, dans le cadre d’une étude locale, qu’ils ont révélé plus de 25% de personnes souffrant d’hypertension », explique le médecin spécialiste.
NDARINFO.COM
Le Pr Said Nourou Diop qui a rendu publique cette étude ce mardi à Lagos (Nigéria), en marge du Forum régional de création de la valeur partagée, précise néanmoins qu’elle est réalisée à partir d’un échantillon représentatif de 1500 personneset démontre que les sénégalais mangent mal.
Se confiant à nos confrères du « Quotidien », Pr Diop met cette mauvaise habitude alimentaire sur le compte des bouillons utilisés au cours des repas. Par ailleurs, « il y a encore 20 ans, le Sénégal n’avait pas 5% d’hypertendus. Mais c’est en 1990 à Pikine, dans le cadre d’une étude locale, qu’ils ont révélé plus de 25% de personnes souffrant d’hypertension », explique le médecin spécialiste.
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