Des acteurs multisectoriels ont pris part à un atelier de dissémination du « Plan stratégique de la santé de reproduction, maternelle, néonatale, infantile, de l’adolescente, jeune et de la nutrition 2024-2028 » ainsi que du « programme national de budgétisation de la planification familiale ». Ces initiatives visent à lutter contre la mortalité néonatale.
L'atelier, présidé par Sidy Guissé DIONGUE, adjoint au Gouverneur, a mis en avant l’importance de ces dispositifs pour garantir le droit à la santé et au bien-être des populations.
« Ces outils permettront à la population de jouir davantage de son droit à la santé et au bien-être », a déclaré M. DIONGUE, saluant par la même occasion la démarche inclusive adoptée par le ministère de la Santé et de l’action sociale.
Le docteur Abiboulaye SALL, directeur régional adjoint de la santé, a décliné les objectifs de la lutte contre la mortalité néonatale. « Nous étions à 153 décès pour 100.000 naissances vivantes et 23 pour 1.000 décès néonatals. Nous souhaitons réduire ces chiffres », a-t-il précisé.
« Nous voulons réduire le taux de décès maternels à 91 pour 100.000 habitants et les décès néonatals à 15 pour 1.000 », a-t-il dit en indiquant que les hémorragies sont les principales causes de décès à la naissance.
L'atelier, présidé par Sidy Guissé DIONGUE, adjoint au Gouverneur, a mis en avant l’importance de ces dispositifs pour garantir le droit à la santé et au bien-être des populations.
« Ces outils permettront à la population de jouir davantage de son droit à la santé et au bien-être », a déclaré M. DIONGUE, saluant par la même occasion la démarche inclusive adoptée par le ministère de la Santé et de l’action sociale.
Le docteur Abiboulaye SALL, directeur régional adjoint de la santé, a décliné les objectifs de la lutte contre la mortalité néonatale. « Nous étions à 153 décès pour 100.000 naissances vivantes et 23 pour 1.000 décès néonatals. Nous souhaitons réduire ces chiffres », a-t-il précisé.
« Nous voulons réduire le taux de décès maternels à 91 pour 100.000 habitants et les décès néonatals à 15 pour 1.000 », a-t-il dit en indiquant que les hémorragies sont les principales causes de décès à la naissance.