Elle est de taille élancée et de forte corpulence. Fille d’un papa qui était diabétique, Mme Caroline Garrick Ngouamba n’a pas eu la chance d’échapper à cette maladie. En effet, c’est en 2002, lors d’une grossesse, qu’elle a su réellement qu’elle était diabétique.
« J’ai fait un diabète gestationnel. Pendant la grossesse, je prenais de l’insuline et après tout été rentré dans l’ordre. Mais quand on est un peu "indiscipliné’" sur le bol, c’est difficile de respecter tout ce qu’on dit. C’est ce qui m’a poussé à être diabétique. Également, mon père l’était et je m’attendais à ça parce que je faisais aussi des bébés avec plus de 4 kilos », a-t-elle dit tout en faisant savoir qu’elle était dans une famille où en plus de son papa, ses deux grandes sœurs étaient aussi diabétiques.
Elle révèle que d’une part, elle était surprise lorsqu’elle a su pour sa maladie puisqu’elle ne s’y attendait pas car se disant pourquoi maintenant. Mais d’autre part, cela ne lui a pas beaucoup surpris du moment où elle est dans une famille diabétique. S’agissant de son vécu quotidien avec cette maladie du diabète, Mme Caroline Garrick Ngouamba a déclaré que c’est contraignant mais qu’elle l’accepte son diabète.
« Le diabète ne guérit pas. Donc acceptons-le et surtout allons voir la personne indiquée pour traiter notre diabète, suivre ses conseils et je pense que tant que nous le faisons nous n’aurons pas de problème », a-t-elle recommandé.
Elle en a profité aussi pour inviter les populations à aller souvent se faire dépister. Parce que, a-t-elle poursuivi, le diabète est une maladie très sournoise qui peut attaquer les yeux. Elle peut atteindre tout le monde et donc personne n’est à l’abris du diabète. Ce qu’il faut faire c’est de promouvoir une hygiène de vie. Il s’agit de revoir ce que nous mangeons, éviter les bouillons, l’excès de sucre et surtout faire de l’activité physique (sport). Je propose la natation qui est un sport complet, la course ou la marche soutenue », a-t-elle suggéré tout en mettant l’accent sur l’importance pour les populations d’aller se faire dépister.
NDARNFO.COM
« J’ai fait un diabète gestationnel. Pendant la grossesse, je prenais de l’insuline et après tout été rentré dans l’ordre. Mais quand on est un peu "indiscipliné’" sur le bol, c’est difficile de respecter tout ce qu’on dit. C’est ce qui m’a poussé à être diabétique. Également, mon père l’était et je m’attendais à ça parce que je faisais aussi des bébés avec plus de 4 kilos », a-t-elle dit tout en faisant savoir qu’elle était dans une famille où en plus de son papa, ses deux grandes sœurs étaient aussi diabétiques.
Elle révèle que d’une part, elle était surprise lorsqu’elle a su pour sa maladie puisqu’elle ne s’y attendait pas car se disant pourquoi maintenant. Mais d’autre part, cela ne lui a pas beaucoup surpris du moment où elle est dans une famille diabétique. S’agissant de son vécu quotidien avec cette maladie du diabète, Mme Caroline Garrick Ngouamba a déclaré que c’est contraignant mais qu’elle l’accepte son diabète.
« Le diabète ne guérit pas. Donc acceptons-le et surtout allons voir la personne indiquée pour traiter notre diabète, suivre ses conseils et je pense que tant que nous le faisons nous n’aurons pas de problème », a-t-elle recommandé.
Elle en a profité aussi pour inviter les populations à aller souvent se faire dépister. Parce que, a-t-elle poursuivi, le diabète est une maladie très sournoise qui peut attaquer les yeux. Elle peut atteindre tout le monde et donc personne n’est à l’abris du diabète. Ce qu’il faut faire c’est de promouvoir une hygiène de vie. Il s’agit de revoir ce que nous mangeons, éviter les bouillons, l’excès de sucre et surtout faire de l’activité physique (sport). Je propose la natation qui est un sport complet, la course ou la marche soutenue », a-t-elle suggéré tout en mettant l’accent sur l’importance pour les populations d’aller se faire dépister.
NDARNFO.COM