La vétusté du plateau sanitaire du centre hospitalier régional et universitaire de Saint-Louis impose le calvaire aux usagers de ce service public. Alors qu’il est dépourvu d’appareil par résonance magnétique (IRM), son scanner, l’un de ses rares bijoux techniques restants, est tombé en panne. Ce, depuis plus de quatre mois.
En cas de dysfonctionnement, il faut attendre l’intervention des techniciens venant de Dakar pour décanter la situation. L’appareil va gripper et s’éteindre quelque temps après.
Pourtant, la demande est plus qu’importante. En temps normal, plus d’une quinzaine de malades sont diagnostiqués par jour et près de 400 traites par mois.
« Ils (techniciens) disent que scanner se bloque à cause de l’humidité au sous-sol », renseigne une source. Mais la persistance du déficit n’aboutit toujours pas à la dotation d’un nouvel appareil. Du côté de l’État et du ministère de la Santé, le silence reste toujours assourdissant.
En ce moment, les patients de Saint-Louis et de la région souffrent terriblement. Ils sont renvoyés à l’hôpital Ahmadou Sakhir MBAYE de Louga pour pouvoir faire l’analyse. Ils vont devoir supporter le trajet de plus d’une centaine de kilomètres malgré la douleur et les complications.
Un collectif de citoyen compte dérouler un plan d’action
NDARINFO.COM
En cas de dysfonctionnement, il faut attendre l’intervention des techniciens venant de Dakar pour décanter la situation. L’appareil va gripper et s’éteindre quelque temps après.
Pourtant, la demande est plus qu’importante. En temps normal, plus d’une quinzaine de malades sont diagnostiqués par jour et près de 400 traites par mois.
« Ils (techniciens) disent que scanner se bloque à cause de l’humidité au sous-sol », renseigne une source. Mais la persistance du déficit n’aboutit toujours pas à la dotation d’un nouvel appareil. Du côté de l’État et du ministère de la Santé, le silence reste toujours assourdissant.
En ce moment, les patients de Saint-Louis et de la région souffrent terriblement. Ils sont renvoyés à l’hôpital Ahmadou Sakhir MBAYE de Louga pour pouvoir faire l’analyse. Ils vont devoir supporter le trajet de plus d’une centaine de kilomètres malgré la douleur et les complications.
Un collectif de citoyen compte dérouler un plan d’action
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