
Dépitées par l’inertie des autorités devant les dures conditions de vie auxquelles elles sont confrontées, les braves dames de l’île à Morphil ont battu le macadam, ce matin.
« Nous refuser en tant que femmes de perdre la vie en donnant la vie », a déclaré leur porte-parole qui fustige le manque d’infrastructures sanitaires dans la zone.
Elles réclament l’achèvement des chantiers de l’hôpital de Cas-Cas, lancés depuis 2005. « Il ne sert que d’enclos pour les animaux en divagation », confie Hawa Moussa TALL. « Alors des hommes et femmes meurent suite à de longues et pénibles évacuations », a-t-elle noté. Les dames exigent par ailleurs la Communalisation de CAS-CAS qui polarise une importante superficie ainsi que l’harmonisation des prix de l’électricité fournie par la COMASEL avec ceux de la SENELEC.
« Nous ne voulons plus de l’électricité des Marocains, nous sommes des Sénégalais. Nous achetons des cartes de la COMASEL, elles s’épuisent sans qu’on les consomme. C’est inacceptable », ont-elles dit.
« Nous refuser en tant que femmes de perdre la vie en donnant la vie », a déclaré leur porte-parole qui fustige le manque d’infrastructures sanitaires dans la zone.
Elles réclament l’achèvement des chantiers de l’hôpital de Cas-Cas, lancés depuis 2005. « Il ne sert que d’enclos pour les animaux en divagation », confie Hawa Moussa TALL. « Alors des hommes et femmes meurent suite à de longues et pénibles évacuations », a-t-elle noté. Les dames exigent par ailleurs la Communalisation de CAS-CAS qui polarise une importante superficie ainsi que l’harmonisation des prix de l’électricité fournie par la COMASEL avec ceux de la SENELEC.
« Nous ne voulons plus de l’électricité des Marocains, nous sommes des Sénégalais. Nous achetons des cartes de la COMASEL, elles s’épuisent sans qu’on les consomme. C’est inacceptable », ont-elles dit.