Les rideaux sont tombés samedi sur l’atelier portant sur l’Introduction à la Gestion Écologique des Rongeurs au Niveau Communautaire dans les Systèmes Agricoles Irrigués, ouvert le 22 avril 2024 à l’Université Gaston berger de Saint-Louis. C’est en milieu communautaire, au village de Mbarigot, où les chercheurs, les producteurs, les représentants de services déconcentrés de l’État se sont regroupés pour marquer la boucle de ce conclave dont l’importance a été fortement magnifié.
En marge de la communion conviviale, une pièce théâtrale sur la thématique a été représentée.
« Désormais, nous pourrons lutter contre les rongeurs à l’aide de procédés biologiques et sans usage de produits chimiques. Nous avons acquis une plus grande connaissance sur les maladies qui proviennent de ces animaux, sur les mesures à prendre pour ne pas être affecté, mais aussi sur les systèmes de piégeage », a renseigné Rose-Marie, agent à la Direction de la Protection des Végétaux (DPV).
« Des méthodes de lutte contre les rongeurs plus efficaces nous ont été indiquées. Il est heureux de savoir qu'il existe des stratégies de lutte que ne nuisent pas à l’environnement », a confié Mouhamadou Moustapha DIACK, le président de l’Union des producteurs de riz de la zone Mboundom.
Pour rappel, ce conclave d’experts du Sénégal, du Mali, du Niger, du Kenya, de l'Éthiopie, des Pays-Bas et de la France a suscité d’importants échanges sur la gestion des rongeurs, ravageurs de cultures, de stocks et réservoirs de maladies transmissibles à l'homme.
Coordonnée par l’adjoint au maire de Gandon, spécialiste des rongeurs africains Khalilou BA, la session de haut niveau a été organisée par une synergie entre l'Institut de recherche pour le développement (IRD), de l’UGB de Saint-Louis, de MetaMéta Research, de l'Institut d'Économie Rurale du Mali, de l'Université Abdou Moumouni du Niger, de la Direction de Protection des Végétaux (DPV) du Sénégal, du Nuffic et du Green Rat Control basés aux Pays-Bas, de SLU en Suède et de Mekelle University en Éthiopie.
En marge de la communion conviviale, une pièce théâtrale sur la thématique a été représentée.
« Désormais, nous pourrons lutter contre les rongeurs à l’aide de procédés biologiques et sans usage de produits chimiques. Nous avons acquis une plus grande connaissance sur les maladies qui proviennent de ces animaux, sur les mesures à prendre pour ne pas être affecté, mais aussi sur les systèmes de piégeage », a renseigné Rose-Marie, agent à la Direction de la Protection des Végétaux (DPV).
« Des méthodes de lutte contre les rongeurs plus efficaces nous ont été indiquées. Il est heureux de savoir qu'il existe des stratégies de lutte que ne nuisent pas à l’environnement », a confié Mouhamadou Moustapha DIACK, le président de l’Union des producteurs de riz de la zone Mboundom.
Pour rappel, ce conclave d’experts du Sénégal, du Mali, du Niger, du Kenya, de l'Éthiopie, des Pays-Bas et de la France a suscité d’importants échanges sur la gestion des rongeurs, ravageurs de cultures, de stocks et réservoirs de maladies transmissibles à l'homme.
Coordonnée par l’adjoint au maire de Gandon, spécialiste des rongeurs africains Khalilou BA, la session de haut niveau a été organisée par une synergie entre l'Institut de recherche pour le développement (IRD), de l’UGB de Saint-Louis, de MetaMéta Research, de l'Institut d'Économie Rurale du Mali, de l'Université Abdou Moumouni du Niger, de la Direction de Protection des Végétaux (DPV) du Sénégal, du Nuffic et du Green Rat Control basés aux Pays-Bas, de SLU en Suède et de Mekelle University en Éthiopie.