Concernant la contre-saison froide, les résultats sont jugés très encourageants par le responsable de la société d’aménagement. « Les résultats sont extrêmement satisfaisants. Plus de 7 000 hectares ont été réalisés sur l’oignon, environ 1 600 hectares pour la tomate, et près de 3 000 hectares pour la pomme de terre et le maïs », a-t-il indiqué.
Il a souligné que ces performances ont été possibles grâce à l’implication de l’État. « Ces résultats ont été obtenus grâce aux efforts de l’État pour accompagner les producteurs, notamment par la mise à disposition des intrants à temps. »
Sur la contre-saison chaude, les surfaces emblavées connaissent également une nette progression dans la vallée. « Les mises en valeur sur la vallée ont connu une hausse assez importante. À cette date, nous sommes autour de 41 000 hectares sur l’ensemble de la rive gauche du Sénégal », a-t-il déclaré.
Mais ces avancées se sont faites dans un contexte marqué par des difficultés d’ordre financier. « De bons résultats ont été obtenus malgré des difficultés liées au crédit, dues à l’endettement des producteurs », a-t-il précisé.
Face à cette problématique, la SAED envisage des solutions concrètes pour rétablir la confiance avec les institutions financières. « Nous sommes en train d’échafauder un programme pour renouer les relations entre les producteurs et La Banque Agricole (LBA) », a-t-il annoncé.
NDARINFO.COM
Il a souligné que ces performances ont été possibles grâce à l’implication de l’État. « Ces résultats ont été obtenus grâce aux efforts de l’État pour accompagner les producteurs, notamment par la mise à disposition des intrants à temps. »
Sur la contre-saison chaude, les surfaces emblavées connaissent également une nette progression dans la vallée. « Les mises en valeur sur la vallée ont connu une hausse assez importante. À cette date, nous sommes autour de 41 000 hectares sur l’ensemble de la rive gauche du Sénégal », a-t-il déclaré.
Mais ces avancées se sont faites dans un contexte marqué par des difficultés d’ordre financier. « De bons résultats ont été obtenus malgré des difficultés liées au crédit, dues à l’endettement des producteurs », a-t-il précisé.
Face à cette problématique, la SAED envisage des solutions concrètes pour rétablir la confiance avec les institutions financières. « Nous sommes en train d’échafauder un programme pour renouer les relations entre les producteurs et La Banque Agricole (LBA) », a-t-il annoncé.
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