
La Société d’Aménagement et d’Exploitation des terres du Delta (SAED) a partagé son expérience en matière de transfert de gestion et de maintenance des infrastructures hydro-agricoles lors d’une rencontre organisée hier jeudi avec une mission de la Banque mondiale et des représentants d’institutions sœurs de la sous-région.
« Cela a été un moment d’échange, de partage d’expérience, entre la SAED et les institutions sœurs de la sous-région. Comme vous le savez, la SAED a fait des pas de géant dans le domaine de la maintenance mais également dans le domaine de la politique de transfert », a déclaré Alassane BA, directeur général de la SAED.
Au cours de la rencontre, la SAED a dévoilé les grandes lignes de sa politique de transfert de gestion des aménagements hydro-agricoles ainsi que les mécanismes mis en place pour assurer la maintenance de ces infrastructures. La société a notamment mis en œuvre plusieurs fonds destinés à renforcer l’entretien des périmètres irrigués.
« C’était une opportunité pour permettre aux différentes directions qui interviennent dans le domaine de l’irrigation de s’inspirer de l’expérience de la SAED en termes d’aménagements, de politique de transfert de ces aménagements assez usagés, et également de politique de maintenance, qui a été une question centrale ayant fait l’objet de nombreuses discussions », a indiqué Aifa Fatimata Ndoye Niane, agroéconomiste de la Banque mondiale.
Mme Niane a également évoqué la nécessité de maîtriser les ressources en eau pour atteindre l’autosuffisance alimentaire dans la sous-région. « Par rapport aux ambitions des différents États, l’autosuffisance alimentaire n’est pas impossible. Je crois que cela passera nécessairement par une agriculture irriguée, par une bonne maîtrise de l’eau », a-t-elle ajouté.
« Cela a été un moment d’échange, de partage d’expérience, entre la SAED et les institutions sœurs de la sous-région. Comme vous le savez, la SAED a fait des pas de géant dans le domaine de la maintenance mais également dans le domaine de la politique de transfert », a déclaré Alassane BA, directeur général de la SAED.
Au cours de la rencontre, la SAED a dévoilé les grandes lignes de sa politique de transfert de gestion des aménagements hydro-agricoles ainsi que les mécanismes mis en place pour assurer la maintenance de ces infrastructures. La société a notamment mis en œuvre plusieurs fonds destinés à renforcer l’entretien des périmètres irrigués.
« C’était une opportunité pour permettre aux différentes directions qui interviennent dans le domaine de l’irrigation de s’inspirer de l’expérience de la SAED en termes d’aménagements, de politique de transfert de ces aménagements assez usagés, et également de politique de maintenance, qui a été une question centrale ayant fait l’objet de nombreuses discussions », a indiqué Aifa Fatimata Ndoye Niane, agroéconomiste de la Banque mondiale.
Mme Niane a également évoqué la nécessité de maîtriser les ressources en eau pour atteindre l’autosuffisance alimentaire dans la sous-région. « Par rapport aux ambitions des différents États, l’autosuffisance alimentaire n’est pas impossible. Je crois que cela passera nécessairement par une agriculture irriguée, par une bonne maîtrise de l’eau », a-t-elle ajouté.