Ibrahima Bakhoum, analyste politique, par ailleurs journaliste formateur, soupçonne un parfum de deal entre le président Macky Sall et son prédécesseur Abdoulaye Wade, après leur retrouvaille vendredi lors de l’inauguration de la mosquée Massalikul Jinane (les chemins du paradis) à Dakar, alors qu’ils étaient en rupture depuis la condamnation de Karim Wade en 2016.
« La prudence voudrait qu’on parle de retrouvaille, parce que la réconciliation c’est autre chose. C’est vrai que hier, il y a eu une poignée de main, mais je présume que ce n’est que l’affiche. Il s’est forcement passé quelque chose antérieurement », a-t-il dit.
Derrière ces retrouvailles, l’analyste politique qui voit le parfum d’une sorte de deal explique la condition de Wade et les attentes de Macky Sall.
« Pour Wade, il n’y a qu’une chose qui compte. C’est comment obtenir la libération de son fils Karim Wade par la justice. Chacun joue un jeu. Pour Macky Sall, ce qui compte pour lui, c’est deux choses. Oubien il crée les conditions d’acceptation d’un troisième mandat ou faire de sorte que ses arrières soient suffisamment assurés », explique M. Bakhoum.
PRESSAFRIK
« La prudence voudrait qu’on parle de retrouvaille, parce que la réconciliation c’est autre chose. C’est vrai que hier, il y a eu une poignée de main, mais je présume que ce n’est que l’affiche. Il s’est forcement passé quelque chose antérieurement », a-t-il dit.
Derrière ces retrouvailles, l’analyste politique qui voit le parfum d’une sorte de deal explique la condition de Wade et les attentes de Macky Sall.
« Pour Wade, il n’y a qu’une chose qui compte. C’est comment obtenir la libération de son fils Karim Wade par la justice. Chacun joue un jeu. Pour Macky Sall, ce qui compte pour lui, c’est deux choses. Oubien il crée les conditions d’acceptation d’un troisième mandat ou faire de sorte que ses arrières soient suffisamment assurés », explique M. Bakhoum.
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