Moi, ABS, un des libéraux sauvages? Je tombe des nues !
Quand, en 2004, lorsqu'une crise profonde éclata entre l'ambassadeur Doudou Salla Diop et toi-même, à l'ambassade du Sénégal, à Paris, où tu n'étais qu'un simple ministre-conseiller, chef du bureau économique. Dans le bureau de l'ambassadeur qui se prenait comme le Père, il n'y avait que deux temoins de ces humiliantes remontées de bretelles: Dieu et moi. Je passe les détails...
Au sortir de ce face-à-face avec l'arrongantissime ambassadeur de l'époque, j'avais décidé de prendre faits et causes pour te défendre publiquement. Toute l'ambassade était finalement au courant du malaise qui régnait entre toi et ce monsieur. La Présidence de la République, sous Wade, la Primature avec Macky Sall et le Ministère des affaires étrangères avec Gadio ont fini par être au courant et s'emparer de cette affaire qui était devenue une affaire d'État et ce, grâce au pamphlet de 15 pages que j'avais publié et dont certains journaux du pays faisaient les gros titres. L'histoire est toujours là et je pense encore au journal de Madiambal Diagne, lui-même qui titrait, alors, "L'ambassade de Paris à couteaux tirés"...
De cette sinistre histoire, le Président Wade a demandé qu'on te rappelle à Dakar où tu as été nommé directeur de cabinet de Macky Sall....le temps de laisser l'ambassadeur qui se croyait "indéboulonnable", malgré ses réseaux d'alors... jusqu'à son remplacement par Maimouna Sourang Ndir... Je me rappelle les propos d'Abdoulaye Wade qui étaient si compatissants et si généreux à ton égard quand il évoquait l'injustice que tu avais subie à l'ambassade, grâce à la lettre ouverte que je lui avais adressée et les vérifications faites. Les Sénégalais oublient que sans cette histoire ta vie ne serait pas ce qu'elle est devenue aujourd'hui. C'est Abdoulaye Wade lui-même qui a demandé que nous quittions l'ambassade, entre 2004 et 2005.. Ma petite personne, à la présidence, comme conseiller technique et toi, eu égard à ton rang et à ton amitié avec Macky Sall, à la Primature, en tant que son directeur de cabinet. Et c'est de là que toute ta carrière a pris un nouveau tournant...Et c'est cet homme, que tu es, qu'Abdoulaye Wade a sorti de l'ombre pour le mettre en prise directe avec la lumière de la politique pour le sauver et l'honorer, qui l'injurie maintenant et taxe ses héritiers et ses disciples, les libéraux qui ne sont pas avec ton patron, de sauvages, alors que le "désensauvagement" est plus que nécessaire dans vos rangs et dans votre camp - repaire et asile de tous les mercenaires politiques qui se sont reniés...et qui ont vendu leur âme au diable...
Je voudrais donc te dire à toi, Mahammad Dionne, puisqu'en 2004, tes prénoms n'affichaient pas expressément ou (in)volontairement "Boun Abdallah" et qui m'avais signé un satisfecit pour travaux rendus avec compétences, loyauté et engagement, de te rappeler du verset coranique sur le Pouvoir Absolu : "Allahouma Malikoul moulk toutil moulk mantashaaou...." que tu me récitais, dans ton bureau, pour me consoler et me calmer...juste pour te dire tout simplement de te reprendre et de rendre à Abdoulaye Wade ne serait-ce qu'un peu de respect. Je ne te demande pas de reconnaissance ou de gratitude, puisque tu n'en as pas, mais juste un peu de respect au Vieux et à nous autres Sénégalais que tu méprises de plus en plus.
Alioune Badara Seck dit ABS,
ancien conseiller technique du Président Wade, ancien député,
expert en intelligence économique et affaires internationales."
Quand, en 2004, lorsqu'une crise profonde éclata entre l'ambassadeur Doudou Salla Diop et toi-même, à l'ambassade du Sénégal, à Paris, où tu n'étais qu'un simple ministre-conseiller, chef du bureau économique. Dans le bureau de l'ambassadeur qui se prenait comme le Père, il n'y avait que deux temoins de ces humiliantes remontées de bretelles: Dieu et moi. Je passe les détails...
Au sortir de ce face-à-face avec l'arrongantissime ambassadeur de l'époque, j'avais décidé de prendre faits et causes pour te défendre publiquement. Toute l'ambassade était finalement au courant du malaise qui régnait entre toi et ce monsieur. La Présidence de la République, sous Wade, la Primature avec Macky Sall et le Ministère des affaires étrangères avec Gadio ont fini par être au courant et s'emparer de cette affaire qui était devenue une affaire d'État et ce, grâce au pamphlet de 15 pages que j'avais publié et dont certains journaux du pays faisaient les gros titres. L'histoire est toujours là et je pense encore au journal de Madiambal Diagne, lui-même qui titrait, alors, "L'ambassade de Paris à couteaux tirés"...
De cette sinistre histoire, le Président Wade a demandé qu'on te rappelle à Dakar où tu as été nommé directeur de cabinet de Macky Sall....le temps de laisser l'ambassadeur qui se croyait "indéboulonnable", malgré ses réseaux d'alors... jusqu'à son remplacement par Maimouna Sourang Ndir... Je me rappelle les propos d'Abdoulaye Wade qui étaient si compatissants et si généreux à ton égard quand il évoquait l'injustice que tu avais subie à l'ambassade, grâce à la lettre ouverte que je lui avais adressée et les vérifications faites. Les Sénégalais oublient que sans cette histoire ta vie ne serait pas ce qu'elle est devenue aujourd'hui. C'est Abdoulaye Wade lui-même qui a demandé que nous quittions l'ambassade, entre 2004 et 2005.. Ma petite personne, à la présidence, comme conseiller technique et toi, eu égard à ton rang et à ton amitié avec Macky Sall, à la Primature, en tant que son directeur de cabinet. Et c'est de là que toute ta carrière a pris un nouveau tournant...Et c'est cet homme, que tu es, qu'Abdoulaye Wade a sorti de l'ombre pour le mettre en prise directe avec la lumière de la politique pour le sauver et l'honorer, qui l'injurie maintenant et taxe ses héritiers et ses disciples, les libéraux qui ne sont pas avec ton patron, de sauvages, alors que le "désensauvagement" est plus que nécessaire dans vos rangs et dans votre camp - repaire et asile de tous les mercenaires politiques qui se sont reniés...et qui ont vendu leur âme au diable...
Je voudrais donc te dire à toi, Mahammad Dionne, puisqu'en 2004, tes prénoms n'affichaient pas expressément ou (in)volontairement "Boun Abdallah" et qui m'avais signé un satisfecit pour travaux rendus avec compétences, loyauté et engagement, de te rappeler du verset coranique sur le Pouvoir Absolu : "Allahouma Malikoul moulk toutil moulk mantashaaou...." que tu me récitais, dans ton bureau, pour me consoler et me calmer...juste pour te dire tout simplement de te reprendre et de rendre à Abdoulaye Wade ne serait-ce qu'un peu de respect. Je ne te demande pas de reconnaissance ou de gratitude, puisque tu n'en as pas, mais juste un peu de respect au Vieux et à nous autres Sénégalais que tu méprises de plus en plus.
Alioune Badara Seck dit ABS,
ancien conseiller technique du Président Wade, ancien député,
expert en intelligence économique et affaires internationales."