‘’Il y a une urgence consistant à permettre aux femmes du monde rural de bénéficier d’un accès régulier (…) à l’énergie nécessaire pour améliorer leurs conditions de vie’’, a-t-il déclaré.
M. Diallo intervenait à un atelier de restitution des résultats du projet ‘’Stratégies optimales d’efficacité énergétique pour une justice énergétique des femmes en milieu rural et un développement à faible émission de carbone’’.
Le fait de mettre l’énergie à la portée des populations rurales, notamment des femmes, ‘’est une étape importante pour réduire les inégalités d’accès à l’énergie entre les villes et les campagnes’’, a-t-il souligné.
Selon lui, une satisfaction des besoins spécifiques des hommes et des femmes en matière d’accès aux services énergétiques, pour transformer leur vie, est essentiellement une question de droit et de justice.
‘’La justice énergétique, ainsi que l’intégration du genre, sont les principes de mise en œuvre de notre politique énergétique’’, a-t-il rappelé, notant que dans cette optique, l’Etat du Sénégal ‘’a mis en place un système d’harmonisation des tarifs de l’électricité sur toute l’étendue du territoire et a investi d’importantes ressources provenant du budget du ministère dans l’électrification rurale, pour résorber toute forme d’inégalités’’.
Adama Diallo a salué ‘’les résultats importants’’ obtenus dans ce domaine. De même s’est-il réjoui de l’amélioration de l’accès à l’électricité en milieu rural, ‘’avec un taux d’électrification qui est passé de 42,3% en fin 2018 à 53,9% en fin 2019’’, ainsi que ‘’la poursuite de la promotion de l’efficacité énergétique, avec la réduction des factures publiques d’électricité’’.
‘’Il y a des raisons d’espérer au Sénégal, car notre pays s’est engagé, avec l’appui des partenaires financiers, à poursuivre les efforts en vue de la promotion de l’équité et de l’égalité hommes-femmes, avec la formulation d’un quatrième cadre de référence qui couvre la période 2015-2025’’, a-t-il dit.
C’est d’ailleurs tout le sens de cette initiative de recherche financée pour une durée de trois ans par le Centre de recherches pour le développement international et mis en œuvre en étroite collaboration avec des instituts universitaires sénégalais, dont l’Ecole supérieure polytechnique, selon M. Diallo.
‘’Les stratégies optimales d’efficacité énergétiques sont nécessaires’’, notamment dans le cadre de ‘’la promotion de l’énergie cuisson propre’’, a-t-il souligné.
APS
M. Diallo intervenait à un atelier de restitution des résultats du projet ‘’Stratégies optimales d’efficacité énergétique pour une justice énergétique des femmes en milieu rural et un développement à faible émission de carbone’’.
Le fait de mettre l’énergie à la portée des populations rurales, notamment des femmes, ‘’est une étape importante pour réduire les inégalités d’accès à l’énergie entre les villes et les campagnes’’, a-t-il souligné.
Selon lui, une satisfaction des besoins spécifiques des hommes et des femmes en matière d’accès aux services énergétiques, pour transformer leur vie, est essentiellement une question de droit et de justice.
‘’La justice énergétique, ainsi que l’intégration du genre, sont les principes de mise en œuvre de notre politique énergétique’’, a-t-il rappelé, notant que dans cette optique, l’Etat du Sénégal ‘’a mis en place un système d’harmonisation des tarifs de l’électricité sur toute l’étendue du territoire et a investi d’importantes ressources provenant du budget du ministère dans l’électrification rurale, pour résorber toute forme d’inégalités’’.
Adama Diallo a salué ‘’les résultats importants’’ obtenus dans ce domaine. De même s’est-il réjoui de l’amélioration de l’accès à l’électricité en milieu rural, ‘’avec un taux d’électrification qui est passé de 42,3% en fin 2018 à 53,9% en fin 2019’’, ainsi que ‘’la poursuite de la promotion de l’efficacité énergétique, avec la réduction des factures publiques d’électricité’’.
‘’Il y a des raisons d’espérer au Sénégal, car notre pays s’est engagé, avec l’appui des partenaires financiers, à poursuivre les efforts en vue de la promotion de l’équité et de l’égalité hommes-femmes, avec la formulation d’un quatrième cadre de référence qui couvre la période 2015-2025’’, a-t-il dit.
C’est d’ailleurs tout le sens de cette initiative de recherche financée pour une durée de trois ans par le Centre de recherches pour le développement international et mis en œuvre en étroite collaboration avec des instituts universitaires sénégalais, dont l’Ecole supérieure polytechnique, selon M. Diallo.
‘’Les stratégies optimales d’efficacité énergétiques sont nécessaires’’, notamment dans le cadre de ‘’la promotion de l’énergie cuisson propre’’, a-t-il souligné.
APS