En résumé dit-il « …mettez –vous en compétition avec vos différentes offres… et nous apprécierons… pour l’accueil du Rectorat et du Centre des œuvres… »
Une telle déclaration n’honore pas et révèle un manque de responsabilité de la part de l’autorité devant arbitrer et préparer les décisions à la plus haute autorité politique.
Si l’USSK a existé, c’est avec l’initiative des filles et fils de Kaolack sans aucun ostracisme et cela pour des raisons clairement identifiées et qui ont fait l’objet de débats et d’échanges scientifiques dans une approche réflexive et dialectique.
Donc ce travail de diagnostic, du questionnement de l’état des lieux infrastructurel est réglé et les documents sont disponibles à partir d’une approche très prospective et l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur à l’époque Recteur de l’Ugb en est témoin avec sa participation au grand forum où sa communication a été présentée et vivement appréciée.
Et en filigrane de sa réflexion, il ne saurait ignorer cette donne que la ville de Kaolack serait la capitale et l’épine dorsale de l’Ussk et cela pour des raisons diverses à la fois liées à l’histoire, à la géographie, à la démographie, à la géostratégie… .
Et c’est cette logique de compétition et de concurrence indubitablement malsaine car allant s’inscrire dans une sorte de mise à nu (dans le sens de nuire) des « failles et autres lacunes » de régions sœurs ,c’est cette logique dis-je que nous avions voulu éviter avec tout ce travail préparatoire de balisage et de ratissage pour qu’au moment de la prise de décision et surtout des grandes décisions ,nous n’ayons pas à perdre du temps : Le souci étant de tirer des leçons du passé et aller vers l’essentiel pour cette université de la 4ème G dixit l’actuel ministre.
Mais c’est avec regret que entendons le ministre (lui-même) relancer et entretenir cette polémique à quelles fins… ? Alors que le Recteur est déjà nommé pour une université dont le démarrage est attendu dès la rentrée prochaine.
Au ministre, homme du sérail, nous reconnaissons une compétence avérée mais sa cadence est très politique voire même politicienne avec ses opérations de charme et autres caresses dans le sens voulu…et à ce rythme, nous risquons de perdre du temps et un différé dans l’ouverture de lUussk reposerait sur ses épaules au moment où l’enseignement supérieur aborde un virage suite aux consultations-concertations.
Le schéma de l’ussk est très limpide et Monsieur le ministre le sait très bien : Osons prendre les mesures hardies qui s’imposent ,c’est cela aussi la gestion et l’assumation de responsabilités.
Ibrahima SENE
Inspecteur de l’Education
Une telle déclaration n’honore pas et révèle un manque de responsabilité de la part de l’autorité devant arbitrer et préparer les décisions à la plus haute autorité politique.
Si l’USSK a existé, c’est avec l’initiative des filles et fils de Kaolack sans aucun ostracisme et cela pour des raisons clairement identifiées et qui ont fait l’objet de débats et d’échanges scientifiques dans une approche réflexive et dialectique.
Donc ce travail de diagnostic, du questionnement de l’état des lieux infrastructurel est réglé et les documents sont disponibles à partir d’une approche très prospective et l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur à l’époque Recteur de l’Ugb en est témoin avec sa participation au grand forum où sa communication a été présentée et vivement appréciée.
Et en filigrane de sa réflexion, il ne saurait ignorer cette donne que la ville de Kaolack serait la capitale et l’épine dorsale de l’Ussk et cela pour des raisons diverses à la fois liées à l’histoire, à la géographie, à la démographie, à la géostratégie… .
Et c’est cette logique de compétition et de concurrence indubitablement malsaine car allant s’inscrire dans une sorte de mise à nu (dans le sens de nuire) des « failles et autres lacunes » de régions sœurs ,c’est cette logique dis-je que nous avions voulu éviter avec tout ce travail préparatoire de balisage et de ratissage pour qu’au moment de la prise de décision et surtout des grandes décisions ,nous n’ayons pas à perdre du temps : Le souci étant de tirer des leçons du passé et aller vers l’essentiel pour cette université de la 4ème G dixit l’actuel ministre.
Mais c’est avec regret que entendons le ministre (lui-même) relancer et entretenir cette polémique à quelles fins… ? Alors que le Recteur est déjà nommé pour une université dont le démarrage est attendu dès la rentrée prochaine.
Au ministre, homme du sérail, nous reconnaissons une compétence avérée mais sa cadence est très politique voire même politicienne avec ses opérations de charme et autres caresses dans le sens voulu…et à ce rythme, nous risquons de perdre du temps et un différé dans l’ouverture de lUussk reposerait sur ses épaules au moment où l’enseignement supérieur aborde un virage suite aux consultations-concertations.
Le schéma de l’ussk est très limpide et Monsieur le ministre le sait très bien : Osons prendre les mesures hardies qui s’imposent ,c’est cela aussi la gestion et l’assumation de responsabilités.
Ibrahima SENE
Inspecteur de l’Education