Devant Dieu et devant les hommes, je voudrais présenter mes plus sincères condoléances à tous ceux qui ont approché, connu ou aimé mon petit frère Ousmane Masseck Ndiaye. Ce message de condoléance s’adresse en particulier à son père Cheikh Bakary Ndiaye de Ndar-Toute, aux épouses, aux enfants, parents et amis du défunt, ainsi qu’à tous les Saint-Louisiens. Cela dit, je voudrais formuler trois témoignages sur l’ancien maire Ousmane Masseck Ndiaye qui repose désormais à l’Est de la grande mosquée de la sainte ville de Touba.
Témoignage 1 : Quand ma fille a failli être licenciée abusivement d’Air Sénégal International, je me suis empressé de saisir Ousmane, alors ministre du Tourisme et des Transports aériens. Ce jour-là, il se trouvait à la Place Faidherbe. C’est ainsi qu’en présence de Collot Diakhaté, il a immédiatement pris son téléphone et convoqué le Dg marocain de la compagnie aérienne, le lendemain au Méridien Président. Ainsi, grâce à Ousmane, ma fille a été sauvée d’un licenciement injuste et arbitraire !
Témoignage 2 : J’ai été témoin de l’assistance réelle, honnête et sincère que feu Ousmane Masseck Ndiaye a toujours apporté à notre ami Collot Diakhaté, en particulier quand ce dernier était sur son lit de mort à Brévié. C’est lui qui achetait la quasi-totalité des ordonnances. C’est lui qui a pris en charge les frais d’hospitalisation. C’est également lui qui a payé les frais de transfert du corps de Dakar à Saint-Louis.
Témoignage 3 : Tout récemment, dans une lettre ouverte au maire de Saint-Louis à propos du Gala des 140 ans, j’écrivais ceci : «Comment peut-on oublier le maire Ousmane Masseck Ndiaye qui, quoi qu’on dise, a eu à son actif les plus importants investissements réalisés dans la commune de Saint-Louis depuis les indépendances ?». Tous les témoignages que je viens d’entendre à travers le Sénégal, semblent me donner raison quand je suggérais à l’actuel maire de Saint-Louis, de décerner une distinction au maire Ousmane Massek Ndiaye à l’occasion du Gala des 140 ans. Je n’ai plus rien à ajouter à ce commentaire.
Que Dieu le Très Miséricordieux accueille Ousmane Masseck Ndiaye dans les jardins fleuris du Paradis céleste.
Moumar GUEYE
Ecrivain
E-mail : moumar@orange.sn
Témoignage 1 : Quand ma fille a failli être licenciée abusivement d’Air Sénégal International, je me suis empressé de saisir Ousmane, alors ministre du Tourisme et des Transports aériens. Ce jour-là, il se trouvait à la Place Faidherbe. C’est ainsi qu’en présence de Collot Diakhaté, il a immédiatement pris son téléphone et convoqué le Dg marocain de la compagnie aérienne, le lendemain au Méridien Président. Ainsi, grâce à Ousmane, ma fille a été sauvée d’un licenciement injuste et arbitraire !
Témoignage 2 : J’ai été témoin de l’assistance réelle, honnête et sincère que feu Ousmane Masseck Ndiaye a toujours apporté à notre ami Collot Diakhaté, en particulier quand ce dernier était sur son lit de mort à Brévié. C’est lui qui achetait la quasi-totalité des ordonnances. C’est lui qui a pris en charge les frais d’hospitalisation. C’est également lui qui a payé les frais de transfert du corps de Dakar à Saint-Louis.
Témoignage 3 : Tout récemment, dans une lettre ouverte au maire de Saint-Louis à propos du Gala des 140 ans, j’écrivais ceci : «Comment peut-on oublier le maire Ousmane Masseck Ndiaye qui, quoi qu’on dise, a eu à son actif les plus importants investissements réalisés dans la commune de Saint-Louis depuis les indépendances ?». Tous les témoignages que je viens d’entendre à travers le Sénégal, semblent me donner raison quand je suggérais à l’actuel maire de Saint-Louis, de décerner une distinction au maire Ousmane Massek Ndiaye à l’occasion du Gala des 140 ans. Je n’ai plus rien à ajouter à ce commentaire.
Que Dieu le Très Miséricordieux accueille Ousmane Masseck Ndiaye dans les jardins fleuris du Paradis céleste.
Moumar GUEYE
Ecrivain
E-mail : moumar@orange.sn