Monsieur le président élu de la république,
Le temps est venu de choisir les collaborateurs qui auront la lourde charge de vous accompagner dans la conduite des affaires de l’Etat. En cette occasion, nous vous conseillerions de mettre en avant trois (3) critères : la compétence, l’engagement et la vertu. La compétence regroupe l’ensemble des connaissances et expériences pertinentes aux domaines d’exercice de la responsabilité à exercer. Quant à l’engagement, il est nourri par la foi inébranlable que la mission confiée relève du sacerdoce et la motivation constamment renouvelée à donner le meilleur de soi pour améliorer la qualité des services à offrir au peuple sénégalais.
Les personnes qui démontrent ces qualités sont passionnées par la réalisation de la vision que vous portez et à laquelle les Sénégalais ont adhéré dans leur grande majorité. Elles sont capables de penser de manière créative et d’aborder sous une perspective large les nombreux et multiformes problèmes qui assaillent au quotidien les populations. Elles sont pragmatiques, savent faire preuve d’initiative et sont orientées résultats. Elles savent remettre en question, de manière constructive, le statu quo, prennent des décisions courageuses et assument la responsabilité des actes qu’elles posent.
Ces personnes savent créer un environnement qui attire les talents d’ici et de la diaspora. Elles savent valoriser la diversité et les bagages culturels différents. Elles sont ouvertes d’esprit, cultivent les relations transversales et recherchent la synergie. Ces personnes sont celles qui ont compris que la réussite de votre mandat relève de leurs propres responsabilités et que l’échec n’est pas une option. Enfin, le candidat à la responsabilité d’Etat a prouvé, dans son parcours, qu’elle est digne de confiance et a fait preuve d’honnêteté dans ses relations avec ses semblables et dans la gestion des ressources à lui confiées. Nous nous permettons de vous rappeler les termes sublimes du Coran, au verset 26 de la sourate 28 (Le récit) : «… le meilleur à engager est celui qui est fort et digne de confiance».
Vos plus proches collaborateurs et vous-même serez assaillis de demandes directes et indirectes provenant des membres de votre propre parti et plus généralement de la coalition qui a porté votre candidature à la magistrature suprême. Quand vous opposerez un niet à certains, les germes de la division naîtront. En ce moment-là, vous vous rappellerez que vous n’avez pas été élu pour un partage de gâteau. La confiance du peuple est sous-tendue par votre capacité à engager des ruptures dans le choix des hommes d’Etat et la conduite des affaires du pays.
Le temps est venu de choisir les collaborateurs qui auront la lourde charge de vous accompagner dans la conduite des affaires de l’Etat. En cette occasion, nous vous conseillerions de mettre en avant trois (3) critères : la compétence, l’engagement et la vertu. La compétence regroupe l’ensemble des connaissances et expériences pertinentes aux domaines d’exercice de la responsabilité à exercer. Quant à l’engagement, il est nourri par la foi inébranlable que la mission confiée relève du sacerdoce et la motivation constamment renouvelée à donner le meilleur de soi pour améliorer la qualité des services à offrir au peuple sénégalais.
Les personnes qui démontrent ces qualités sont passionnées par la réalisation de la vision que vous portez et à laquelle les Sénégalais ont adhéré dans leur grande majorité. Elles sont capables de penser de manière créative et d’aborder sous une perspective large les nombreux et multiformes problèmes qui assaillent au quotidien les populations. Elles sont pragmatiques, savent faire preuve d’initiative et sont orientées résultats. Elles savent remettre en question, de manière constructive, le statu quo, prennent des décisions courageuses et assument la responsabilité des actes qu’elles posent.
Ces personnes savent créer un environnement qui attire les talents d’ici et de la diaspora. Elles savent valoriser la diversité et les bagages culturels différents. Elles sont ouvertes d’esprit, cultivent les relations transversales et recherchent la synergie. Ces personnes sont celles qui ont compris que la réussite de votre mandat relève de leurs propres responsabilités et que l’échec n’est pas une option. Enfin, le candidat à la responsabilité d’Etat a prouvé, dans son parcours, qu’elle est digne de confiance et a fait preuve d’honnêteté dans ses relations avec ses semblables et dans la gestion des ressources à lui confiées. Nous nous permettons de vous rappeler les termes sublimes du Coran, au verset 26 de la sourate 28 (Le récit) : «… le meilleur à engager est celui qui est fort et digne de confiance».
Vos plus proches collaborateurs et vous-même serez assaillis de demandes directes et indirectes provenant des membres de votre propre parti et plus généralement de la coalition qui a porté votre candidature à la magistrature suprême. Quand vous opposerez un niet à certains, les germes de la division naîtront. En ce moment-là, vous vous rappellerez que vous n’avez pas été élu pour un partage de gâteau. La confiance du peuple est sous-tendue par votre capacité à engager des ruptures dans le choix des hommes d’Etat et la conduite des affaires du pays.