Les 15 unions membres de la Fédération des Périmètres autogérés (FPA) se sont mobilisées, dimanche, à DIAWAR pour faire part de la démobilisation et du « malaise » que les taxes sur les redevances hydrauliques imposées à leurs organisations ont provoqués au sein de la vallée du fleuve Sénégal.
« Les unions ne sont des Sociétés à responsabilité limitée (SARL) que de nom et n’exploitent pas la moindre superficie. Elles ne sont pas créées pour générer des bénéfices, mais juste pour exercer leurs rôles qui se limitent à un service public », a rappelé Alioune GUEYE, le président de la FPA.
« C’est ce que l’État du Sénégal a compris en supprimant la TVA et la prime fixe sur les factures d’électricité rétablissant une injustice longtemps endurée et décriée par les producteurs », a-t-il ajouté.
Créée en 1993, la FPA regroupe les unions hydrauliques de Boundoum, Daga, Déby Tiguette, les Kassack Nord et Sud, Pont Gendarme, Thiagar, Thilène en plus de celles de Dagana, Dasdé, Ndellé, Ndiaye, Mgomène et Toufndé Ranéré
D’un potentiel, de 15.000 hectares d’aménagements agricoles avec maitrise de l’eau, la PFA, considérée comme la locomotive du le Programme Nationale d'Autosuffisance en Riz (PNAR), met en synergie les efforts de 300 organisations paysannes de base, plus 18.000 producteurs attributaires de parcelles pour une population de 120.000 habitants.
« Cette redevance n’est ni un gain additio0nel, ni destiné à générer des bénéfices, mais uniquement pour permettre à l’union d’assurer une fonction d’irrigation », a précisé M. GUEYE, en indiquant que cette nouvelle mesure décourage la dynamique entreprise par le PNAR, cher au Président Macky SALL.
Évoquant « une destruction d’un système économique mis en place par l’État, lui-même », « la fin de l’autogestion et de la responsabilisation paysanne », M. GUEYE signale que le paiement de ces impôts estimés à plus d’un milliard de francs CFA, « équivaut à faire revenir l’exode rural » et « la dislocation des exploitations familiales dans la vallée ».
> Suivez ces explications et celles de Djibril DIOP, membre de la FPA
« Les unions ne sont des Sociétés à responsabilité limitée (SARL) que de nom et n’exploitent pas la moindre superficie. Elles ne sont pas créées pour générer des bénéfices, mais juste pour exercer leurs rôles qui se limitent à un service public », a rappelé Alioune GUEYE, le président de la FPA.
« C’est ce que l’État du Sénégal a compris en supprimant la TVA et la prime fixe sur les factures d’électricité rétablissant une injustice longtemps endurée et décriée par les producteurs », a-t-il ajouté.
Créée en 1993, la FPA regroupe les unions hydrauliques de Boundoum, Daga, Déby Tiguette, les Kassack Nord et Sud, Pont Gendarme, Thiagar, Thilène en plus de celles de Dagana, Dasdé, Ndellé, Ndiaye, Mgomène et Toufndé Ranéré
D’un potentiel, de 15.000 hectares d’aménagements agricoles avec maitrise de l’eau, la PFA, considérée comme la locomotive du le Programme Nationale d'Autosuffisance en Riz (PNAR), met en synergie les efforts de 300 organisations paysannes de base, plus 18.000 producteurs attributaires de parcelles pour une population de 120.000 habitants.
« Cette redevance n’est ni un gain additio0nel, ni destiné à générer des bénéfices, mais uniquement pour permettre à l’union d’assurer une fonction d’irrigation », a précisé M. GUEYE, en indiquant que cette nouvelle mesure décourage la dynamique entreprise par le PNAR, cher au Président Macky SALL.
Évoquant « une destruction d’un système économique mis en place par l’État, lui-même », « la fin de l’autogestion et de la responsabilisation paysanne », M. GUEYE signale que le paiement de ces impôts estimés à plus d’un milliard de francs CFA, « équivaut à faire revenir l’exode rural » et « la dislocation des exploitations familiales dans la vallée ».
> Suivez ces explications et celles de Djibril DIOP, membre de la FPA
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