Le protocole d’accord pour la commercialisation du riz local permettra de réguler les importations du riz au Sénégal et d’aménager un marché tourné vers l’offre locale, a soutenu, vendredi, le ministre du Commerce, Secteur informel, de la Consommation, de la Promotion des Produits locaux et des PME, Alioune Sarr. ‘’Il a été décidé de réguler dorénavant les importations de riz, afin d’aménager un marché porteur de l’offre locale. Un cadre de régulation a été conçu de commun accord avec les principaux acteurs concernés, systématisé à travers ce présent protocole ’’, a-t-il dit
S’exprimant lors de la signature d'un protocole d’accord visant à faciliter la commercialisation du riz blanc local, Alioune Sarr a souligné que les ‘’fortes productions attendues durant les prochaines campagnes de saison chaude et pluviale nécessitent une bonne planification des conditions de mise en marché’’.
Les acteurs intervenant dans la chaîne de valeurs (producteurs, riziers, importateurs, banquiers, la SAED) ont signé, à Saint-Louis, le 30 janvier, un protocole accord pour l’écoulement du stock en souffrance dans les rizières évalué à 8.400 tonnes.
Les importateurs ont payé et enlevé 2.160 tonnes à 485 millions de FCFA et se sont répartis le stock résiduel estimé à 3.375 tonnes, a soutenu Alioune Sarr.
’’Les achats et enlèvements de ce stock sont en cours avec le concours de la Banque nationale pour le développement économique (BNDE)’’, a-t-il ajouté.
Selon lui, le protocole précise les engagements et les obligations des différentes parties notamment les riziers, les importateurs, la SAED, la BNDE. ‘’Du respect des engagements de chaque partie dépendra la réussite du mécanisme qui sera profitable à tous les acteurs’’, a-t-il ajouté.
Estimé à plus d’un million de tonnes par an, le marché sénégalais du riz est le plus grand marché des produits alimentaires du pays, en termes de volume, avec un chiffre d’affaire de 200 milliards de francs CFA.
‘’Cette option de régulation des importations est synonyme de croissance économique, de création d’emplois, de souveraineté alimentaire et de stabilité sociale’’, a-t-il dit, invitant les acteurs concernés à jouer leur rôle pour la réussite de la commercialisation du riz local.
Les importateurs distributeurs de riz, qui ont pris part à la signature du protocole, ont manifesté leur engagement et leur disponibilité à accompagner l'Etat, en vue de l’atteinte des objectifs dans les délais prévus.
Le Sénégal ambitionne de réaliser l’autosuffisance en riz à l’horizon 2017, à travers la mise en œuvre du Programme de relance et d'accélération de la cadence de l'agriculture sénégalaise (PRACAS).
APS
S’exprimant lors de la signature d'un protocole d’accord visant à faciliter la commercialisation du riz blanc local, Alioune Sarr a souligné que les ‘’fortes productions attendues durant les prochaines campagnes de saison chaude et pluviale nécessitent une bonne planification des conditions de mise en marché’’.
Les acteurs intervenant dans la chaîne de valeurs (producteurs, riziers, importateurs, banquiers, la SAED) ont signé, à Saint-Louis, le 30 janvier, un protocole accord pour l’écoulement du stock en souffrance dans les rizières évalué à 8.400 tonnes.
Les importateurs ont payé et enlevé 2.160 tonnes à 485 millions de FCFA et se sont répartis le stock résiduel estimé à 3.375 tonnes, a soutenu Alioune Sarr.
’’Les achats et enlèvements de ce stock sont en cours avec le concours de la Banque nationale pour le développement économique (BNDE)’’, a-t-il ajouté.
Selon lui, le protocole précise les engagements et les obligations des différentes parties notamment les riziers, les importateurs, la SAED, la BNDE. ‘’Du respect des engagements de chaque partie dépendra la réussite du mécanisme qui sera profitable à tous les acteurs’’, a-t-il ajouté.
Estimé à plus d’un million de tonnes par an, le marché sénégalais du riz est le plus grand marché des produits alimentaires du pays, en termes de volume, avec un chiffre d’affaire de 200 milliards de francs CFA.
‘’Cette option de régulation des importations est synonyme de croissance économique, de création d’emplois, de souveraineté alimentaire et de stabilité sociale’’, a-t-il dit, invitant les acteurs concernés à jouer leur rôle pour la réussite de la commercialisation du riz local.
Les importateurs distributeurs de riz, qui ont pris part à la signature du protocole, ont manifesté leur engagement et leur disponibilité à accompagner l'Etat, en vue de l’atteinte des objectifs dans les délais prévus.
Le Sénégal ambitionne de réaliser l’autosuffisance en riz à l’horizon 2017, à travers la mise en œuvre du Programme de relance et d'accélération de la cadence de l'agriculture sénégalaise (PRACAS).
APS