Le professeur Souleymane Mboup a vanté, lundi à Dakar, les bienfaits de la circoncision masculine qui, selon lui, est un moyen efficace de lutte contre le VIH/Sida.
‘’Des essais ont prouvé que la circoncision pouvait, de manière scientifique, diminuer les risques de transmission du Sida. Et, d’autres études récentes ont prouvé que là où elle est menée à très large échelle, elle a permis de constater une réduction de la transmission de 60%’’ chez les communautés à forte prévalence du VIH et pratiquant faiblement la circoncision, a dit le professeur Mboup.
Il s’exprimait à l’ouverture de la réunion annuelle du Réseau ouest-africain de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme (WANETAM) dont il est le coordonnateur.
La circoncision de l’adulte est ‘’une stratégie de prévention additionnelle contre le VIH/Sida’’, a encore dit Souleymane Mboup qui, avec une équipe de l’hôpital Aristide Le Dantec de Dakar, a décrit le VIH-2, en 1985.
‘’Et maintenant, la circoncision est devenue une stratégie dans certains pays qui l’utilisent comme arme de prévention, contrairement à nous, qui avons la chance d’avoir presque des taux de circoncision universelle’’, a-t-il fait savoir.
Participant à la réunion du WANETAM, le secrétaire général du ministère de la Santé et de la Prévention Moussa Mbaye a rappelé que la recherche est ‘’l’un des outils les plus puissants’’ pour surmonter les obstacles au développement de la santé dans les pays en développement.
‘’Malheureusement, a-t-il dit, elle (la recherche) est négligée et insuffisamment reconnue’’, a relevé M. Mbaye.
‘’La recherche est essentielle pour faciliter les mesures de promotion de la santé, mais aussi pour susciter un savoir neuf et susceptible de consolider les acquis dans le renforcement des capacités en matière de santé publique’’, a-t-il rappelé.
‘’Des essais ont prouvé que la circoncision pouvait, de manière scientifique, diminuer les risques de transmission du Sida. Et, d’autres études récentes ont prouvé que là où elle est menée à très large échelle, elle a permis de constater une réduction de la transmission de 60%’’ chez les communautés à forte prévalence du VIH et pratiquant faiblement la circoncision, a dit le professeur Mboup.
Il s’exprimait à l’ouverture de la réunion annuelle du Réseau ouest-africain de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme (WANETAM) dont il est le coordonnateur.
La circoncision de l’adulte est ‘’une stratégie de prévention additionnelle contre le VIH/Sida’’, a encore dit Souleymane Mboup qui, avec une équipe de l’hôpital Aristide Le Dantec de Dakar, a décrit le VIH-2, en 1985.
‘’Et maintenant, la circoncision est devenue une stratégie dans certains pays qui l’utilisent comme arme de prévention, contrairement à nous, qui avons la chance d’avoir presque des taux de circoncision universelle’’, a-t-il fait savoir.
Participant à la réunion du WANETAM, le secrétaire général du ministère de la Santé et de la Prévention Moussa Mbaye a rappelé que la recherche est ‘’l’un des outils les plus puissants’’ pour surmonter les obstacles au développement de la santé dans les pays en développement.
‘’Malheureusement, a-t-il dit, elle (la recherche) est négligée et insuffisamment reconnue’’, a relevé M. Mbaye.
‘’La recherche est essentielle pour faciliter les mesures de promotion de la santé, mais aussi pour susciter un savoir neuf et susceptible de consolider les acquis dans le renforcement des capacités en matière de santé publique’’, a-t-il rappelé.