Le taux de transmission mère-enfant du VIH est passé de 6% en 2011 à 3,1% en 2014, selon les résultats de la deuxième enquête nationale rendus public mardi.
L’enquête exhaustive a visé les enfants de mères séropositives nés entre le 1 er janvier 2011 et le 31 décembre 2014 dans les structures de santé répertoriées comme sites du programme de Prévention de transmission mère-enfant (PTME), indique le résumé de l’enquête remis aux journalistes.
Cette enquête qui a été réalisée de juillet à septembre dernier, a néanmoins révélé des disparités dans la transmission mère-enfant du VIH, entre les 14 régions du Sénégal.
La région de Ziguinchor (Sud) enregistre le plus faible taux de transmission (2,7%), comme lors de la première enquête nationale réalisée en 2010.
Avec 13,3%, la région de Matam (Nord), s’est retrouvée avec le taux le plus élevé au niveau national.
Sur les 2409 enfants nés de mères séropositives, le devenir n’a pu être déterminé que pour 1991 enfants.
L’enquête fait état de 1244 enfants vivants soit 62,5%, 170 décédés doit 8,5%, tandis que 577 autres sont perdus de vue soit 29,0%.
Toutes les régions ont eu à déplorer les déperditions parmi les enfants nés de mères séropositives, signale l’enquête, précisant que les taux ont varié entre 15,3% à Sédhiou (Sud) et 40,0% à Saint-Louis(Nord).
Toutefois, le taux de perdus de vue le plus important est noté dans les hôpitaux, souligne t-on.
Le renforcement de la collaboration et la coordination des acteurs du public et du privé, la dotation des prestataires de logistiques pour la relance et la recherche des perdus de vue, l’encouragement du dépistage prénuptial, sont entre autres recommandations formulées par l’enquête nationale.
Le chef de la division VIH/Sida et infections sexuellement transmissibles, Dr Abdoulaye Sidibé Wade, la directrice de lutte contre la maladie,Dr Marie Khemesse Ngom Ndiaye, au niveau du ministère de la santé et de l’action sociale, ont pris part à la cérémonie de restitution de l’enquête sur le PTME.
Source: APS
L’enquête exhaustive a visé les enfants de mères séropositives nés entre le 1 er janvier 2011 et le 31 décembre 2014 dans les structures de santé répertoriées comme sites du programme de Prévention de transmission mère-enfant (PTME), indique le résumé de l’enquête remis aux journalistes.
Cette enquête qui a été réalisée de juillet à septembre dernier, a néanmoins révélé des disparités dans la transmission mère-enfant du VIH, entre les 14 régions du Sénégal.
La région de Ziguinchor (Sud) enregistre le plus faible taux de transmission (2,7%), comme lors de la première enquête nationale réalisée en 2010.
Avec 13,3%, la région de Matam (Nord), s’est retrouvée avec le taux le plus élevé au niveau national.
Sur les 2409 enfants nés de mères séropositives, le devenir n’a pu être déterminé que pour 1991 enfants.
L’enquête fait état de 1244 enfants vivants soit 62,5%, 170 décédés doit 8,5%, tandis que 577 autres sont perdus de vue soit 29,0%.
Toutes les régions ont eu à déplorer les déperditions parmi les enfants nés de mères séropositives, signale l’enquête, précisant que les taux ont varié entre 15,3% à Sédhiou (Sud) et 40,0% à Saint-Louis(Nord).
Toutefois, le taux de perdus de vue le plus important est noté dans les hôpitaux, souligne t-on.
Le renforcement de la collaboration et la coordination des acteurs du public et du privé, la dotation des prestataires de logistiques pour la relance et la recherche des perdus de vue, l’encouragement du dépistage prénuptial, sont entre autres recommandations formulées par l’enquête nationale.
Le chef de la division VIH/Sida et infections sexuellement transmissibles, Dr Abdoulaye Sidibé Wade, la directrice de lutte contre la maladie,Dr Marie Khemesse Ngom Ndiaye, au niveau du ministère de la santé et de l’action sociale, ont pris part à la cérémonie de restitution de l’enquête sur le PTME.
Source: APS