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Mme Fatou Diop Sall, coordonnatrice du GESTES
« Des progrès ont été faits dans domaine de la lutte contre la pauvreté, la scolarité des filles, l’accès aux services sociaux de base et à l’eau, à l’électrification rurale, à santé de la reproduction, mais pour atteindre les OMD, le préalable, c’est l’éradication des violences basées sur le genre », a déclaré vendredi, Mme Fatou Diop Sall, la coordonnatrice du Groupe d'études et de recherche genre et sociétés (GESTES).
« Les recherches que nous menons ont pu faire que les violences se passent dans l’espace domestique, mais autres secteurs comme le milieu de formation, de travail et à des proportions insoupçonnées », révèle qui insiste sur l’apport des recherches que mènent le Geste dans la production d’indicateurs et de données sur les disparités sociales.
M. Sall a regretté les cas d’impunité notés après la dénonciation de certaines violences faites aux femmes et renseigne que la plupart des requêtes faites auprès des autorités judiciaires ne sont pas suivies par des sanctions effectives.
« L’ensemble des organisations de la société civile dénonce cette injustice sans pour autant qu’on trouve des solutions. On sera loin de l’atteinte des objectifs du Millénaire si nous n’arrivons pas à éradiquer les violences basées sur le genre », regrette cette enseignante-chercheuse qui souligne que les travaux du geste sont soutenus par le Centre de recherches pour le développement international(CRDI), une organisation internationale basée au Canada.
Voici notre entretien vidéo avec Mme Sall, à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la femme.
« Les recherches que nous menons ont pu faire que les violences se passent dans l’espace domestique, mais autres secteurs comme le milieu de formation, de travail et à des proportions insoupçonnées », révèle qui insiste sur l’apport des recherches que mènent le Geste dans la production d’indicateurs et de données sur les disparités sociales.
M. Sall a regretté les cas d’impunité notés après la dénonciation de certaines violences faites aux femmes et renseigne que la plupart des requêtes faites auprès des autorités judiciaires ne sont pas suivies par des sanctions effectives.
« L’ensemble des organisations de la société civile dénonce cette injustice sans pour autant qu’on trouve des solutions. On sera loin de l’atteinte des objectifs du Millénaire si nous n’arrivons pas à éradiquer les violences basées sur le genre », regrette cette enseignante-chercheuse qui souligne que les travaux du geste sont soutenus par le Centre de recherches pour le développement international(CRDI), une organisation internationale basée au Canada.
Voici notre entretien vidéo avec Mme Sall, à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la femme.
