Dans le cadre de la gestion des réquisitions délivrées aux enseignants grévistes, les gendarmes de la brigade de Bounkiling mènent une enquête auprès de ceux qui persistent à poursuivent la grève.
Quatre questions leur sont généralement posées :
avez-vous reçu votre réquisition auprès de votre chef d’établissement ?
Oui répond l’interrogé.
L’avez-vous signée ? Reprend le gendarme.
Non rétorque l’interrogé.
Pourquoi ? dit le gendarme.
Parce que je suis en grève poursuit l’enseignant.
Persistez-vous dans votre logique à ne pas signer ? demande le pandore.
Oui persiste l’enseignant.
Je vous remercie conclut l’homme en bleu.
Il faut dire que la quasi-totalité des enseignants de la région est affiliée au Saems Cusems qui maintient son mot d’ordre de rétention de notes, de boycott des compositions et des conseils de classe.
Et malgré la menace de révocation ou de licenciement sans préavis brandie par l’État, ces derniers restent campés sur leur position. « L’État a plus besoin de nous que nous de lui martèle l’un d’eux expliquant qu’ils ne sont pas des ouvriers que l’on remplacer du jour au lendemain.
Toutefois, il faut noter que bon nombre d’entre eux ont rendu les notes, mais refusent de proposer des sujets de composition pour le second semestre.
Quatre questions leur sont généralement posées :
avez-vous reçu votre réquisition auprès de votre chef d’établissement ?
Oui répond l’interrogé.
L’avez-vous signée ? Reprend le gendarme.
Non rétorque l’interrogé.
Pourquoi ? dit le gendarme.
Parce que je suis en grève poursuit l’enseignant.
Persistez-vous dans votre logique à ne pas signer ? demande le pandore.
Oui persiste l’enseignant.
Je vous remercie conclut l’homme en bleu.
Il faut dire que la quasi-totalité des enseignants de la région est affiliée au Saems Cusems qui maintient son mot d’ordre de rétention de notes, de boycott des compositions et des conseils de classe.
Et malgré la menace de révocation ou de licenciement sans préavis brandie par l’État, ces derniers restent campés sur leur position. « L’État a plus besoin de nous que nous de lui martèle l’un d’eux expliquant qu’ils ne sont pas des ouvriers que l’on remplacer du jour au lendemain.
Toutefois, il faut noter que bon nombre d’entre eux ont rendu les notes, mais refusent de proposer des sujets de composition pour le second semestre.
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