Selon une étude de chercheurs de l’Université de Washington, conduite par le Docteur Natalia Grindler, les composants chimiques présents dans les produits pourraient causer des ménopauses précoces.
L’étude menée sur les niveaux de phtalates contenus dans le sang et les urines de 5.700 femmes a permis de découvrir que celles qui présentaient les plus fort taux avaient été, en moyenne, confrontées à une ménopause, 2,3 ans avant les autres. Les femmes très exposées à de forte doses de phtalates sont concernées par ces risques.
15 ans d'avance
L’âge moyen de la ménopause est 51 ans mais selon l’étude, la ménopause pouvait se présenter 15 ans plus tôt... soit 36 ans. Une ménopause précoce peut pénaliser les jeunes femmes désireuses de faire des enfants et engendrer des taux élevés d’accidents vasculaires, de maladies cardiaques ou de problèmes osseux.
L’étude sur les effets des cosmétiques sur la santé reste en cours de travail mais le Docteur Natalia Grindler explique que les premiers résultats sont probants. « Il y a beaucoup de choses que nous ne savons pas à ce stade, notre recherche est encore au stade préliminaire, mais nos premiers résultats sont déjà suffisants pour suggérer que ces produits ont un impact préjudiciable sur le long terme » confie-t-elle.
Auteur Direct Matin
L’étude menée sur les niveaux de phtalates contenus dans le sang et les urines de 5.700 femmes a permis de découvrir que celles qui présentaient les plus fort taux avaient été, en moyenne, confrontées à une ménopause, 2,3 ans avant les autres. Les femmes très exposées à de forte doses de phtalates sont concernées par ces risques.
15 ans d'avance
L’âge moyen de la ménopause est 51 ans mais selon l’étude, la ménopause pouvait se présenter 15 ans plus tôt... soit 36 ans. Une ménopause précoce peut pénaliser les jeunes femmes désireuses de faire des enfants et engendrer des taux élevés d’accidents vasculaires, de maladies cardiaques ou de problèmes osseux.
L’étude sur les effets des cosmétiques sur la santé reste en cours de travail mais le Docteur Natalia Grindler explique que les premiers résultats sont probants. « Il y a beaucoup de choses que nous ne savons pas à ce stade, notre recherche est encore au stade préliminaire, mais nos premiers résultats sont déjà suffisants pour suggérer que ces produits ont un impact préjudiciable sur le long terme » confie-t-elle.
Auteur Direct Matin