La mutuelle de santé de Goxu-Mbathie a été donnée en exemple dans la perspective de la couverture universelle prônée par les tenants du nouveau régime pour une réussite du projet de mutualisation du risque maladie dans le cadre de la décentralisation (DECAM). Un atelier s’est tenu mercredi à Saint-Louis, une occasion pour son président Lamine Mbaye d’esquisser la voie à suivre pour le succés d’un tel projet.
Le président de la mutuelle de santé de Goxu-Mbathie M. Lamine Mbaye a estimé que pour une bonne réussite du projet de mutualisation du risque maladie dans le cadre de la décentralisation (DECAM) des préalables doivent être faits.
‘’Il faut d’abord des mutuelles fortes et viables dans toutes les zones concernées’’, a dit M. Mbaye qpour qui ‘’une mutuelle forte signifie une mutuelle qui réunit régulièrement ses instances et dont les membres assurent leur cotisation mensuelle. Ce qui est rare car sur une dizaine à Saint-Louis, seule celle de Goxu-Mbathie répond à ces critères’’.
Cependant, il ne perd pas espoir quant au succès du projet en cours estimant que ‘’tout dépend de la volonté des populations qu’il faut convaincre de la pertinence de mettre en commun les efforts pour assurer une couverture sanitaire aux plus faibles’’.
A Goxu-Mbathie, la mutuelle créée depuis 1999 compte 215 membres qui cotisent 500 f par mois après avoir adhéré en raison de 1000 f par personne, indique-t-il soulignant qu’un adhérent peut couvrir quatre membres de sa famille.
‘’Il lui est assuré ainsi au poste de santé du quartier ou à la maternité, 100 pour cent de prise en charge pour la consultation, 40 pour cent pour l’échographie et 80 pour cent pour son internement’’, a dit le président de la mutuelle de ce quartier de pêcheurs de Saint-Louis. Pour les ordonnances, le malade est couvert jusqu’à 2000 F, selon M. Mbaye notant que le surplus lui est fourni sous-forme de prêt à rembourser.
Ndarinfo.com
Le président de la mutuelle de santé de Goxu-Mbathie M. Lamine Mbaye a estimé que pour une bonne réussite du projet de mutualisation du risque maladie dans le cadre de la décentralisation (DECAM) des préalables doivent être faits.
‘’Il faut d’abord des mutuelles fortes et viables dans toutes les zones concernées’’, a dit M. Mbaye qpour qui ‘’une mutuelle forte signifie une mutuelle qui réunit régulièrement ses instances et dont les membres assurent leur cotisation mensuelle. Ce qui est rare car sur une dizaine à Saint-Louis, seule celle de Goxu-Mbathie répond à ces critères’’.
Cependant, il ne perd pas espoir quant au succès du projet en cours estimant que ‘’tout dépend de la volonté des populations qu’il faut convaincre de la pertinence de mettre en commun les efforts pour assurer une couverture sanitaire aux plus faibles’’.
A Goxu-Mbathie, la mutuelle créée depuis 1999 compte 215 membres qui cotisent 500 f par mois après avoir adhéré en raison de 1000 f par personne, indique-t-il soulignant qu’un adhérent peut couvrir quatre membres de sa famille.
‘’Il lui est assuré ainsi au poste de santé du quartier ou à la maternité, 100 pour cent de prise en charge pour la consultation, 40 pour cent pour l’échographie et 80 pour cent pour son internement’’, a dit le président de la mutuelle de ce quartier de pêcheurs de Saint-Louis. Pour les ordonnances, le malade est couvert jusqu’à 2000 F, selon M. Mbaye notant que le surplus lui est fourni sous-forme de prêt à rembourser.
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