Le programme mis en œuvre pour la production de riz blanc de très bonne qualité estimée à 1.080.000 t soit 1.600.000 t de riz paddy à partir de la production locale à l’horizon 2017. Pour relever le défi de l’autosuffisance en riz, le programme d’accélération de la cadence de l’Agriculture au Sénégal (PRACAS) ambitionne déjà de réaliser pour la campagne 2014-2015, la production de 900.000 t de riz paddy dans toutes les zones de confondues.
Dans la Vallée du fleuve Sénégal, les superficies à mettre en valeur sont de 90.750 ha répartis ainsi : 38.000 ha en saison sèche chaude et 50.000ha en hivernage. Le même programme assigne 3.900 ha à l’Anambé et 120.000 ha à la zone pluviale.
Le Directeur Général de la SAED qui a présenté le PNAR au cours de la journée consacrée au Sénégal dans le cadre du Salon International de l’Agriculture qui se tient depuis samedi dernier à Paris, a révélé les impacts positifs que l’atteinte des objectifs d’un tel programme engendrerait pour notre pays. Samba Kanté qui a rappelé la volonté politique affichée par les pouvoirs publics Pour Samba Kanté, c’est plus de 300 milliards de francs CFA à économiser pour l’importation de 900.000 t sans compter les effets induits qui que génère la production. Outre ces effets sur la balance commerciale de notre pays, les opportunités d’investissement à l’amont et à l’aval de la production permettraient la disponibilité d’une large gamme main-d’œuvre et de création de richesses.
Cependant, estime le Dg de la SAED, l’atteinte de ces objectifs passent par une contribution substantielle de l’Etat, un engagement des Producteurs, une implication du Secteur Privé mais surtout un respect des délais fixés dans le cadre de la planification et du financement des activités.
Madine NDAO (SIA, Paris)
Dans la Vallée du fleuve Sénégal, les superficies à mettre en valeur sont de 90.750 ha répartis ainsi : 38.000 ha en saison sèche chaude et 50.000ha en hivernage. Le même programme assigne 3.900 ha à l’Anambé et 120.000 ha à la zone pluviale.
Le Directeur Général de la SAED qui a présenté le PNAR au cours de la journée consacrée au Sénégal dans le cadre du Salon International de l’Agriculture qui se tient depuis samedi dernier à Paris, a révélé les impacts positifs que l’atteinte des objectifs d’un tel programme engendrerait pour notre pays. Samba Kanté qui a rappelé la volonté politique affichée par les pouvoirs publics Pour Samba Kanté, c’est plus de 300 milliards de francs CFA à économiser pour l’importation de 900.000 t sans compter les effets induits qui que génère la production. Outre ces effets sur la balance commerciale de notre pays, les opportunités d’investissement à l’amont et à l’aval de la production permettraient la disponibilité d’une large gamme main-d’œuvre et de création de richesses.
Cependant, estime le Dg de la SAED, l’atteinte de ces objectifs passent par une contribution substantielle de l’Etat, un engagement des Producteurs, une implication du Secteur Privé mais surtout un respect des délais fixés dans le cadre de la planification et du financement des activités.
Madine NDAO (SIA, Paris)