Le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Papa Abdoulaye Seck a réaffirmé, lundi, l’engagement du gouvernement sénégalais à changer ‘’positivement et durablement’’ la physionomie de l’agriculture à Ngnith, une commune du département Dagana (nord).
"Nous sommes en train de réunir les ingrédients pour redessiner la physionomie de l’agriculture dans cette zone. L’espoir est permis parce que reposant sur du concret. L’espoir est permis et repose sur l’engagement des producteurs, des techniciens et chercheurs", a-t-il notamment déclaré à des journalistes.
Le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural s’exprimait au terme d’une visite d’exploitations de patate douce et de manioc de la commune de Ngnith, dans le département de Dagana.
"C’est une zone qui a un potentiel très fort en ce qui concerne la patate douce et le manioc. C’est une visite très instructive qui confirme la justesse des orientations stratégiques définies dans le Plan Sénégal émergent (PSE, référentiel de la politique de développement économique du pays)", a expliqué M. Seck.
Selon lui, le manioc et la patate douce font partie des spéculations agricoles retenues dans le cadre du programme national de sécurisation et d’augmentation de la croissance
"Ces deux spéculations permettent d’avoir des usages allant de l’alimentation humaine et animale, à la transformation industrielle. Elles permettent également d’exploiter nos avantages comparatifs en les exportant au niveau de la sous-région et à travers le monde", a-t-il fait valoir.
"L’agriculture sénégalaise ne pourra jamais optimiser ses performances sans un développement de l’horticulture. Avec les spéculations de manioc et de la patate douce, on cultive toute l’année avec des rendements très élevés", a-t-il souligné.
Le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a ainsi fait part de la volonté du gouvernement de soutenir davantage ces deux filières par le biais d’un important programme d’équipement et de modernisation agricoles.
Il a ainsi cité entre autres initiatives la mise en œuvre du Projet développement inclusif et durable de l’agro-business au Sénégal (PDIDAS) et un autre programme indien de développement du secteur agricole.
Cela devrait se traduire par d’importants investissements dans l’aménagement de la terre, le renforcement des équipements dans la zone du Ngalam et du Lacs de Guiers, a-t-il laissé entendre.
"Ces deux initiatives, combinées à la bonne volonté des producteurs et des services techniques et des chercheurs devraient nous permettre de changer positivement et la physionomie de l’agriculture dans cette zone", a insisté Papa Abdoulaye Seck.
Les acteurs de la filière manioc se sont engagés à emblaver 13.000 ha en 2016, informe un communiqué du service de communication du ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural parvenu à l’APS.
Plus de 500.000 tonnes devraient être produites au terme de la présente campagne, précise le texte.
En 2015, la production de manioc tournait autour de 439.871 tonnes pour 7500 ha exploités. ‘’Cette production record a été possible grâce à l’appui de la tutelle’’, souligne le communiqué de presse.
NDARINFO.COM
"Nous sommes en train de réunir les ingrédients pour redessiner la physionomie de l’agriculture dans cette zone. L’espoir est permis parce que reposant sur du concret. L’espoir est permis et repose sur l’engagement des producteurs, des techniciens et chercheurs", a-t-il notamment déclaré à des journalistes.
Le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural s’exprimait au terme d’une visite d’exploitations de patate douce et de manioc de la commune de Ngnith, dans le département de Dagana.
"C’est une zone qui a un potentiel très fort en ce qui concerne la patate douce et le manioc. C’est une visite très instructive qui confirme la justesse des orientations stratégiques définies dans le Plan Sénégal émergent (PSE, référentiel de la politique de développement économique du pays)", a expliqué M. Seck.
Selon lui, le manioc et la patate douce font partie des spéculations agricoles retenues dans le cadre du programme national de sécurisation et d’augmentation de la croissance
"Ces deux spéculations permettent d’avoir des usages allant de l’alimentation humaine et animale, à la transformation industrielle. Elles permettent également d’exploiter nos avantages comparatifs en les exportant au niveau de la sous-région et à travers le monde", a-t-il fait valoir.
"L’agriculture sénégalaise ne pourra jamais optimiser ses performances sans un développement de l’horticulture. Avec les spéculations de manioc et de la patate douce, on cultive toute l’année avec des rendements très élevés", a-t-il souligné.
Le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a ainsi fait part de la volonté du gouvernement de soutenir davantage ces deux filières par le biais d’un important programme d’équipement et de modernisation agricoles.
Il a ainsi cité entre autres initiatives la mise en œuvre du Projet développement inclusif et durable de l’agro-business au Sénégal (PDIDAS) et un autre programme indien de développement du secteur agricole.
Cela devrait se traduire par d’importants investissements dans l’aménagement de la terre, le renforcement des équipements dans la zone du Ngalam et du Lacs de Guiers, a-t-il laissé entendre.
"Ces deux initiatives, combinées à la bonne volonté des producteurs et des services techniques et des chercheurs devraient nous permettre de changer positivement et la physionomie de l’agriculture dans cette zone", a insisté Papa Abdoulaye Seck.
Les acteurs de la filière manioc se sont engagés à emblaver 13.000 ha en 2016, informe un communiqué du service de communication du ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural parvenu à l’APS.
Plus de 500.000 tonnes devraient être produites au terme de la présente campagne, précise le texte.
En 2015, la production de manioc tournait autour de 439.871 tonnes pour 7500 ha exploités. ‘’Cette production record a été possible grâce à l’appui de la tutelle’’, souligne le communiqué de presse.
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