La redynamisation du Comité interprofessionnel du riz (Ciriz) a fait l’objet d’un atelier de deux jours (lundi et mardi), regroupant toutes les parties prenantes de cette filière, qui a constaté le manque d’implication de cette structure dans son secteur de prédilection.
‘’Peu de choses ont été réalisées avec cette interprofession qui a quand même réussi à faire passer les financements de la Caisse nationale de crédit agricole d’un milliard a aujourd’hui 4 milliards de francs’’, a dit le président du Ciriz, Saliou Sarr, imputant cette léthargie à ’’l’absence d’un industriel fort comme pour la filière tomate’’.
Pour lui, ‘’il faudrait en arriver à une situation où le producteur s’occupe uniquement de cette activité et laisse la commercialisation et la transformation à d’autres acteurs’’.
’’La naissance d’une structure pour la commercialisation ouvre des possibilités dans ce sens’’, selon M. Sarr qui a plaidé pour une feuille de route claire pour le Ciriz, après son assemblée générale prévue très prochainement. Le Ciriz a été créé en 1998.
Il a admis que l’objectif d’un million de tonnes fixé en 2015 est aujourd’hui ’’en passe d’être raté car la production n’a réellement pas augmenté’’.
‘’Pour que la production qui est d’environ 300.000 tonnes annuellement augmente, il faudrait de nouveaux aménagements et pour l’essentiel on assiste plutôt à des réhabilitations’’, a affirmé M. Sarr.
Pour sa part, le directeur général adjoint de la Société d’aménagement des terres du delta et de la Falémé (SAED), Mor Diop, a noté que ‘’le progrès de la filière passe par une spécialisation et une professionnalisation des acteurs et par une plus grande formalisation des relations entre eux’’.
‘’Peu de choses ont été réalisées avec cette interprofession qui a quand même réussi à faire passer les financements de la Caisse nationale de crédit agricole d’un milliard a aujourd’hui 4 milliards de francs’’, a dit le président du Ciriz, Saliou Sarr, imputant cette léthargie à ’’l’absence d’un industriel fort comme pour la filière tomate’’.
Pour lui, ‘’il faudrait en arriver à une situation où le producteur s’occupe uniquement de cette activité et laisse la commercialisation et la transformation à d’autres acteurs’’.
’’La naissance d’une structure pour la commercialisation ouvre des possibilités dans ce sens’’, selon M. Sarr qui a plaidé pour une feuille de route claire pour le Ciriz, après son assemblée générale prévue très prochainement. Le Ciriz a été créé en 1998.
Il a admis que l’objectif d’un million de tonnes fixé en 2015 est aujourd’hui ’’en passe d’être raté car la production n’a réellement pas augmenté’’.
‘’Pour que la production qui est d’environ 300.000 tonnes annuellement augmente, il faudrait de nouveaux aménagements et pour l’essentiel on assiste plutôt à des réhabilitations’’, a affirmé M. Sarr.
Pour sa part, le directeur général adjoint de la Société d’aménagement des terres du delta et de la Falémé (SAED), Mor Diop, a noté que ‘’le progrès de la filière passe par une spécialisation et une professionnalisation des acteurs et par une plus grande formalisation des relations entre eux’’.