M. Diop s’exprimait lors d’un point presse tenu mardi pour faire le constat des dégâts occasionnés par les pluies, suite à la mévente de la production d’oignon des producteurs du delta du fleuve Sénégal (nord), notée après la fête de Korité, marquant la fin du jeûne musulman.
"Si l’Etat ne vient pas à notre secours, le reste de notre production va pourrir à la prochaine tombée des pluies", a-t-il prévenu.
Il a signalé que les producteurs du département de Dagana avaient "emblavé" pour cette saison 2200 hectares, en prenant des crédits à la caisse nationale de crédit agricole du Sénégal (CNCAS).
Relevant que les producteurs ne disposent pas de magasins de stockage, il a aussi expliqué que l’oignon ne "peut être couvert par des bâches".
"Nous allons bientôt aborder la saison hivernale pour la culture du riz et nous sommes inquiets à cause de nos remboursements de dette à la CNCAS. Si l’on n’arrive pas à sauver le restant de notre production évalué à près de 8000 tonnes d’oignon, ce sera la catastrophe", ajoute le président des producteurs.
APS
"Si l’Etat ne vient pas à notre secours, le reste de notre production va pourrir à la prochaine tombée des pluies", a-t-il prévenu.
Il a signalé que les producteurs du département de Dagana avaient "emblavé" pour cette saison 2200 hectares, en prenant des crédits à la caisse nationale de crédit agricole du Sénégal (CNCAS).
Relevant que les producteurs ne disposent pas de magasins de stockage, il a aussi expliqué que l’oignon ne "peut être couvert par des bâches".
"Nous allons bientôt aborder la saison hivernale pour la culture du riz et nous sommes inquiets à cause de nos remboursements de dette à la CNCAS. Si l’on n’arrive pas à sauver le restant de notre production évalué à près de 8000 tonnes d’oignon, ce sera la catastrophe", ajoute le président des producteurs.
APS