Les hameaux du village d’Assitoy (45kms de Saint-Louis, près de Ndiaye Mberesse) vivent la désolation à cause de l’eau dans tous ses états. Là-bas, pas moins de 200 (deux cents) têtes de bétails (chèvres, boeufs et moutons) sont tuées par les eaux chargées des canaux de drainage du PDMAS, selon les populations.
Si les eaux chargées tuent, le manque d’eau potable constitue pour les femmes une corvée quotidienne. Elles sont obligées de faire 30kms aller-retour pour en trouver. Selon elles, souvent, il leur arrive de ne pouvoir cuisiner à cause du manque d’eau.
Assitoy a besoin d’aide urgente gouvernementale pour améliorer sa communication avec les structures sanitaires. Pas de case de santé là-bas. Les femmes accouchent sur des charrettes en cours de pistes sablonneuses. En période hivernale, la zone risque l’isolement avec la submersion du pont de fortune en bois.
Le chapelet de doléances est enfilé par une autre difficulté pour l’avenir de leurs enfants. En effet, il n’y a qu’une seule école et certains hameaux rencontrent des difficultés pour le déplacement de leurs enfants.
NDARINFO
Si les eaux chargées tuent, le manque d’eau potable constitue pour les femmes une corvée quotidienne. Elles sont obligées de faire 30kms aller-retour pour en trouver. Selon elles, souvent, il leur arrive de ne pouvoir cuisiner à cause du manque d’eau.
Assitoy a besoin d’aide urgente gouvernementale pour améliorer sa communication avec les structures sanitaires. Pas de case de santé là-bas. Les femmes accouchent sur des charrettes en cours de pistes sablonneuses. En période hivernale, la zone risque l’isolement avec la submersion du pont de fortune en bois.
Le chapelet de doléances est enfilé par une autre difficulté pour l’avenir de leurs enfants. En effet, il n’y a qu’une seule école et certains hameaux rencontrent des difficultés pour le déplacement de leurs enfants.
NDARINFO