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La représentante-résidente du Fonds de Nations unies pour la population (FNUAP), Andrée Wojnar Diagne, s’est dite impressionnée par la maturité et la compréhension dont font preuve les jeunes des espaces jeunes de Saint-Louis et de l’Université Gaston Berger.
‘’Ils cherchent à vivre dans leur société, à respecter les valeurs, mais ils voient des réalités et les soulignent’’, a-t-elle expliqué à des journalistes à la fin d’une mission de trois jours à Saint-Louis.
Une mission du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) s’est rendue à Saint-Louis en vue de relever sur le terrain les interactions avec les populations bénéficiaires du programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD), qui se tiendra le 22 septembre prochain à New York.
‘’L’objectif de cette descente sur le terrain c’était surtout pour rencontrer les bénéficiaires de nos programmes et de les écouter, voir leurs réalisations et vraiment mieux comprendre les réalités du terrain, pour pouvoir planifier pour le futur.‘’
Selon elle, plus de 52 % de la population au Sénégal a moins de 25 ans. D’où l’intérêt d'accorder la priorité aux questions des jeunes, de les écouter, de rester à l’écoute de leurs préoccupations, notamment. ‘’Cela est pour moi une priorité sur laquelle je vais travailler’’, a-t-elle promis.
Andrée Wojnar Diagne a rappelé que les OMD arrivent à leur terme, et que tout le monde est conscient qu’il faut surtout parler avec les bénéficiaires eux-mêmes pour pouvoir mieux planifier.
‘’Nous avons eu à rencontrer des jeunes, des +bajénus gox+ [marraines de quartiers], des chefs religieux et nous avons trouvé que, malgré le fait que beaucoup de choses ont été faites et réalisées, il y a aussi un énorme potentiel à exploiter’’, a-t-elle dit.
La représentante résidente du FNUAP dit avoir constaté que beaucoup de choses sont faites. Mais elle a souligné l'importance d'avoir une meilleure synergie des acteurs dans la mesure où tout le monde vise la même chose. ‘’Nous devons juste aligner nos efforts’’, dit elle.
‘’Il y a un manque de moyens, même si nous faisons des efforts pour fournir le nécessaire, mais nous devons mutualiser les efforts pour minimiser les dépenses et mieux formuler le travail, afin d’obtenir des résultats encore plus probants’’, a-t-elle insisté.
APS
‘’Ils cherchent à vivre dans leur société, à respecter les valeurs, mais ils voient des réalités et les soulignent’’, a-t-elle expliqué à des journalistes à la fin d’une mission de trois jours à Saint-Louis.
Une mission du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) s’est rendue à Saint-Louis en vue de relever sur le terrain les interactions avec les populations bénéficiaires du programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD), qui se tiendra le 22 septembre prochain à New York.
‘’L’objectif de cette descente sur le terrain c’était surtout pour rencontrer les bénéficiaires de nos programmes et de les écouter, voir leurs réalisations et vraiment mieux comprendre les réalités du terrain, pour pouvoir planifier pour le futur.‘’
Selon elle, plus de 52 % de la population au Sénégal a moins de 25 ans. D’où l’intérêt d'accorder la priorité aux questions des jeunes, de les écouter, de rester à l’écoute de leurs préoccupations, notamment. ‘’Cela est pour moi une priorité sur laquelle je vais travailler’’, a-t-elle promis.
Andrée Wojnar Diagne a rappelé que les OMD arrivent à leur terme, et que tout le monde est conscient qu’il faut surtout parler avec les bénéficiaires eux-mêmes pour pouvoir mieux planifier.
‘’Nous avons eu à rencontrer des jeunes, des +bajénus gox+ [marraines de quartiers], des chefs religieux et nous avons trouvé que, malgré le fait que beaucoup de choses ont été faites et réalisées, il y a aussi un énorme potentiel à exploiter’’, a-t-elle dit.
La représentante résidente du FNUAP dit avoir constaté que beaucoup de choses sont faites. Mais elle a souligné l'importance d'avoir une meilleure synergie des acteurs dans la mesure où tout le monde vise la même chose. ‘’Nous devons juste aligner nos efforts’’, dit elle.
‘’Il y a un manque de moyens, même si nous faisons des efforts pour fournir le nécessaire, mais nous devons mutualiser les efforts pour minimiser les dépenses et mieux formuler le travail, afin d’obtenir des résultats encore plus probants’’, a-t-elle insisté.
APS
