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Saint-Louis - l’ODCAV en perte de vitesse: les combines d'une mafia bien organisée.

Vendredi 17 Janvier 2014

C’est le cri de cœur unanime des supporters, staffs et parrains des équipes finalistes des différentes coupes, qui retentit comme une forte protestation contre une mauvaise gestion de l’ODCAV de Saint-Louis considérée comme un trésor succulent entre les mains d’une dangereuse mafia bien organisée.

Au moment où la promotion de sport semble être la seule brèche possible pour booster ce secteur en crise, la structure chargée de son organisation au plan local dort s’enfonce dans l’amateurisme délibéré et gagne chaque jour la colère de bien d’acteurs engagés.

Au stade, la place octroyée au Journalistes créée le premier pincement de cœur des acteurs du sport à Saint-Louis. Les agents de la presse sont exposés en plein air au risque de leur vie. Certains se font piquer leurs dictaphones et téléphones portables, d’autres sont agressés par des supporters surexcités.

Malgré la grosse manne financière qu’amasse l’ODCAV de Saint-Louis, le studio réservé aux journalistes est le dépotoir de toutes formes d’immondices et d’ordures. La presse est plus que reléguée au second plan, elle est bannie.

Contrairement aux autres organisations sportives qui cherchent à être méticuleuses dans leur gestion, l’ODCAV de Saint-Louis semble être un fourre-tout d’opportunisme, aucun bilan d'activités n'est fait, aucune transparence dans la gestion financière des sous du Navétane et du sabotage démesuré.

Le manque de visibilité des matches de finale fait déborder la bassine. L’ODCAV capable de pouvoir financer l’équipement sportif des joueurs se rabat sur des parrains qu’il suce sans vergogne. Les leaders politiques de Saint-Louis sert de troupeaux et des vaches à lait! Ceci est ignoble !

Saint-Louisiens, réveillez-vous !

Goor Makk Dia


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1.Posté par ANPS SAINT-LOUIS le 17/01/2014 13:59
La section de Saint-Louis de l'Association nationale de la presse sportive dégage toutes ses responsabilités par rapport à tout ce qui a été écrit et publié dans le troisième paragraphe de la contribution postée et titrée "L'Odcav de Saint-Louis en perte de vitesse...". Nous ne sommes ni de près ni de loin et d'aucune manière impliqués dans la rédaction de cette contribution dont l'auteur avance encagoulé. D'ailleurs, la pratique journaliste impose à tout contributeur de s'identifier à travers ses contacts pour s'exposer lui aussi à la réaction de l'opinion et de la victime qui peut décider de toute procédure pour réparer le tort subi.
Concernant, la première phrase du troisième paragraphe en question, l'ANPS de Saint-Louis ne s'est jamais plainte de qui que ce soit pour émettre un quelconque "pincement de cœur" par rapport aux conditions de travail des journalistes au stade. De par le passé, tous les écueils ont été gérés entre partenaires et les actuelles conditions de travail ont été décidées de commun accord en parties.
Pour apporter des éclairages sur le vol de dictaphone et portable de journaliste, nous sommes au regret de démentir ces allégations. De tels faits ne se sont jamais pour le moment produits et sont donc considérés comme une simple vue de l'esprit du contributeur.
Il faut enfin souligner qu'aucun journaliste n'a jamais encore agressé au stade. Tirez-en toutes les conclusions...

Ibrahima DIARA, Président ANPS Saint-Louis

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