Les syndicalistes révèlent des « manipulations d’une partie du personnel à des fins d’empêcher la tenue du Conseil d’administration du 18 février 2016 par des agressions verbales à l’endroit de certains administrateurs ».
Mieux, s’offusquent-ils, « la direction a signé un contrat annuel de près de 2 millions de francs CFA avec une radio de la place (qui n’est d’ailleurs pas la plus écoutée par les populations) », « au moment où un temps d’antenne sur des thèmes relatifs à la santé est gracieusement accordé par d’autres » stations radiophoniques.
Les grévistes renforcent les dénonciations des associations des consommateurs de Saint-Louis sur la hausse des prestations sanitaires qui sont passées du simple au double, alors que « la même offre est fournie dans les autres structures sanitaires de la commune ».
« Des champs de blocs sont payés à hauteur de 18.000 francs CFA », « des nominations arbitraires ne tenant pas compte des critères d’éligibilité », sont des points qui alimentent la colère de ces travailleurs.
Ils ajoutent que « le directeur fait le tour des services pour distribuer des billets de banque à une frange du personnel en guise de « ndampay », car constatant lui-même, la mauvaise gestion qualité des repas servis au personnel ».
« Au moment où les services sont dépourvus de matériels et de consommables, la direction se permet de payer deux voitures de luxe à hauteur de 44 millions », révèle le Sutsas qui précise que la dette aux fournisseurs et institutions sociales reste toujours d’actualité ».
Selon toujours les syndicalistes, des bourses d’études sont octroyées par la direction à certains agents qui, aujourd’hui, deviennent des « bouffons » de l’administration hospitalière.
NDARINFO.COM
Mieux, s’offusquent-ils, « la direction a signé un contrat annuel de près de 2 millions de francs CFA avec une radio de la place (qui n’est d’ailleurs pas la plus écoutée par les populations) », « au moment où un temps d’antenne sur des thèmes relatifs à la santé est gracieusement accordé par d’autres » stations radiophoniques.
Les grévistes renforcent les dénonciations des associations des consommateurs de Saint-Louis sur la hausse des prestations sanitaires qui sont passées du simple au double, alors que « la même offre est fournie dans les autres structures sanitaires de la commune ».
« Des champs de blocs sont payés à hauteur de 18.000 francs CFA », « des nominations arbitraires ne tenant pas compte des critères d’éligibilité », sont des points qui alimentent la colère de ces travailleurs.
Ils ajoutent que « le directeur fait le tour des services pour distribuer des billets de banque à une frange du personnel en guise de « ndampay », car constatant lui-même, la mauvaise gestion qualité des repas servis au personnel ».
« Au moment où les services sont dépourvus de matériels et de consommables, la direction se permet de payer deux voitures de luxe à hauteur de 44 millions », révèle le Sutsas qui précise que la dette aux fournisseurs et institutions sociales reste toujours d’actualité ».
Selon toujours les syndicalistes, des bourses d’études sont octroyées par la direction à certains agents qui, aujourd’hui, deviennent des « bouffons » de l’administration hospitalière.
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