Dans le cadre de la mise en œuvre de l’initiative européenne de centres d’excellence pour la réduction des risques et menaces liés aux substances Chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (Cbrn), le Sénégal, à l’instar d’autres pays de la façade atlantique africaine, bénéficie de projets qui lui permettront de mieux se préparer et intervenir face à de tels problèmes.
Ainsi, l’équipe européenne du projet 35 Cbrn « Gestion des déchets chimiques et biologiques dangereux » a organisé, pendant trois jours, dans la capitale du Nord, un atelier de formation destiné aux chefs de services régionaux de l’administration déconcentrée des régions de Louga, de Thiès et de Saint-Louis. Les travaux ont été ouverts par le gouverneur de la région de Saint-Louis, Alioune Aïdara Niang.
Cette rencontre a été animée par Mme Fagamou Sy Diop, conseillère technique à la Direction de l’environnement et Point focal national des centres Cbrn, Mme Imma Bueno, responsable de la formation sur les déchets biologiques, Thomas Arevalo, responsable de la formation sur les déchets chimiques et Boubacar Dia, chef du Service régional de l’environnement de Saint-Louis. Pour améliorer la gestion des produits chimiques dangereux et des déchets biologiques dans la région atlantique africaine et en Tunisie, il faut une approche sur mesure adaptée aux besoins de chaque pays partenaire.
Selon Mme Fagamou Sy Diop, ce programme Cbrn a démarré ses activités en janvier 2014 et devrait s’achever en juillet 2017. Il est financé par l’Union européenne et mis en œuvre, avec l’appui de partenaires espagnols (Fiiapp-Coopération espagnole et Aenor), en Côte d’Ivoire, au Gabon, au Liberia, en Mauritanie, au Maroc, au Sénégal, au Togo et en Tunisie.
Il comporte deux phases qui permettent de dresser l’état des lieux, de mener une vaste campagne de sensibilisation et de formation au profit du grand public, des personnes concernées par la gestion de ces déchets, des scientifiques et des techniciens de laboratoires.
Mbagnick Kharachi DIAGNE
Ainsi, l’équipe européenne du projet 35 Cbrn « Gestion des déchets chimiques et biologiques dangereux » a organisé, pendant trois jours, dans la capitale du Nord, un atelier de formation destiné aux chefs de services régionaux de l’administration déconcentrée des régions de Louga, de Thiès et de Saint-Louis. Les travaux ont été ouverts par le gouverneur de la région de Saint-Louis, Alioune Aïdara Niang.
Cette rencontre a été animée par Mme Fagamou Sy Diop, conseillère technique à la Direction de l’environnement et Point focal national des centres Cbrn, Mme Imma Bueno, responsable de la formation sur les déchets biologiques, Thomas Arevalo, responsable de la formation sur les déchets chimiques et Boubacar Dia, chef du Service régional de l’environnement de Saint-Louis. Pour améliorer la gestion des produits chimiques dangereux et des déchets biologiques dans la région atlantique africaine et en Tunisie, il faut une approche sur mesure adaptée aux besoins de chaque pays partenaire.
Selon Mme Fagamou Sy Diop, ce programme Cbrn a démarré ses activités en janvier 2014 et devrait s’achever en juillet 2017. Il est financé par l’Union européenne et mis en œuvre, avec l’appui de partenaires espagnols (Fiiapp-Coopération espagnole et Aenor), en Côte d’Ivoire, au Gabon, au Liberia, en Mauritanie, au Maroc, au Sénégal, au Togo et en Tunisie.
Il comporte deux phases qui permettent de dresser l’état des lieux, de mener une vaste campagne de sensibilisation et de formation au profit du grand public, des personnes concernées par la gestion de ces déchets, des scientifiques et des techniciens de laboratoires.
Mbagnick Kharachi DIAGNE