Les femmes vivant dans cette situation doivent en informer leur conjoint ‘’d’autant plus que la plupart [d’entre elles] sont issues d’un ménage polygame’’, a dit M. Wone qui recevait une mission de la Division de lutte contre le Sida et les IST (DLSI).
Cette mission visite la région de Saint-Louis pour s’informer de la prévention de la transmission de la mère à l’enfant (PTME) du VIH.
‘’Il y a des femmes qui se font dépister positif lors des consultations prénatales, mais refusent de partager leur statut sérologique avec leur mari’’, a indiqué l’ICP, qui fait de la sensibilisation dans ce domaine.
Tenir sa séropoistivté au secret de son conjoint ‘’est inquiétant dans la mesure où les femmes [qui le font] vivent pour la plupart dans un ménage polygame, ce qui aggrave les risques de transmission du virus à d’autres membres de la famille‘’, a expliqué Amadou Bocar Wone.
Est inquiétante aussi l’attitude de l’époux qui refuse de se faire dépister ou répudie la femme, lorsque cette dernière l’informe de son statut sérologique. ‘’Ce n’est rien d’autre que de l’irresponsabilité et une fuite en avant de la part du mari‘’, a-t-il affirmé, expliquant que cette attitude entraîne ‘’un grand dilemme‘’ chez les agents de santé assurant le traitement des femmes séropositives.
Il arrive aussi qu’un mari polygame, après s’être fait dépister, refuse d’informer ses épouses des résultats du dépistage, selon l’ICP de Namarel. Cette attitude résulte de la crainte d’un éventuel divorce ou de la stigmatisation de l’une des co-épouses testée positif au VIH, a-t-il fait savoir.
SOURCE:Aps
Cette mission visite la région de Saint-Louis pour s’informer de la prévention de la transmission de la mère à l’enfant (PTME) du VIH.
‘’Il y a des femmes qui se font dépister positif lors des consultations prénatales, mais refusent de partager leur statut sérologique avec leur mari’’, a indiqué l’ICP, qui fait de la sensibilisation dans ce domaine.
Tenir sa séropoistivté au secret de son conjoint ‘’est inquiétant dans la mesure où les femmes [qui le font] vivent pour la plupart dans un ménage polygame, ce qui aggrave les risques de transmission du virus à d’autres membres de la famille‘’, a expliqué Amadou Bocar Wone.
Est inquiétante aussi l’attitude de l’époux qui refuse de se faire dépister ou répudie la femme, lorsque cette dernière l’informe de son statut sérologique. ‘’Ce n’est rien d’autre que de l’irresponsabilité et une fuite en avant de la part du mari‘’, a-t-il affirmé, expliquant que cette attitude entraîne ‘’un grand dilemme‘’ chez les agents de santé assurant le traitement des femmes séropositives.
Il arrive aussi qu’un mari polygame, après s’être fait dépister, refuse d’informer ses épouses des résultats du dépistage, selon l’ICP de Namarel. Cette attitude résulte de la crainte d’un éventuel divorce ou de la stigmatisation de l’une des co-épouses testée positif au VIH, a-t-il fait savoir.
SOURCE:Aps