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Une occasion qui a permis acteurs de cette filière de se pencher sur les schémas de commercialisation du riz dans la vallée en étudiant les contraintes actuelles et pistes de solutions.
‘’Plusieurs stratégies sont entrain d’être mises en œuvre mis la réalité est qu’il ya actuellement beaucoup de problèmes dans la commercialisation du riz’’ explique Djibril Diaw, le président du Pinord qui exige ‘’l’installation d’une bonne concertation des acteurs de cette filière et que l’Etat joue son rôle d’appui et d’encadrement à travers les ministères concernés. Le manque d’une politique de commercialisation efficace aura des répercussions négatives sur la production’’.
‘’On organise chaque année des rencontres pour discuter des prix mais ces mesures ne sont jamais respectées. Les conditions dans les quelles ces rencontres sont organisées ne sont pas les meilleures et les véritables acteurs ne sont pas présents’’, révèle M. Diaw.
Cette situation décourage les investisseurs alors que le Sénégal importe plus de la moitié de ses besoins en riz, soit plus de 650.000 tonnes.
Pour lui, ‘’Il faut désormais qu’au début de chaque campagne, qu’on puisse s’assoir sur une même table avec les organisations de producteurs pour discuter de la structure des coûts.
‘’Nous voulons que ces dispositions soient revues de sorte que les prix qui sont proposés soient rémunérateurs et que les organisations paysannes jouent le jeu’’ a-t-il dit. ‘’Quand on vend le riz, le producteur est celui qui gagne le moins et c’est lui qui prend le plus de risque en terme financier’’.
Une approche consensuelle sur la problématique de la commercialisation du riz sera déclinée à la suite de cette rencontre.
Cheikh S.SEYE
‘’Plusieurs stratégies sont entrain d’être mises en œuvre mis la réalité est qu’il ya actuellement beaucoup de problèmes dans la commercialisation du riz’’ explique Djibril Diaw, le président du Pinord qui exige ‘’l’installation d’une bonne concertation des acteurs de cette filière et que l’Etat joue son rôle d’appui et d’encadrement à travers les ministères concernés. Le manque d’une politique de commercialisation efficace aura des répercussions négatives sur la production’’.
‘’On organise chaque année des rencontres pour discuter des prix mais ces mesures ne sont jamais respectées. Les conditions dans les quelles ces rencontres sont organisées ne sont pas les meilleures et les véritables acteurs ne sont pas présents’’, révèle M. Diaw.
Cette situation décourage les investisseurs alors que le Sénégal importe plus de la moitié de ses besoins en riz, soit plus de 650.000 tonnes.
Pour lui, ‘’Il faut désormais qu’au début de chaque campagne, qu’on puisse s’assoir sur une même table avec les organisations de producteurs pour discuter de la structure des coûts.
‘’Nous voulons que ces dispositions soient revues de sorte que les prix qui sont proposés soient rémunérateurs et que les organisations paysannes jouent le jeu’’ a-t-il dit. ‘’Quand on vend le riz, le producteur est celui qui gagne le moins et c’est lui qui prend le plus de risque en terme financier’’.
Une approche consensuelle sur la problématique de la commercialisation du riz sera déclinée à la suite de cette rencontre.
Cheikh S.SEYE
