Une baisse considérable de la lèpre a été enregistrée dans la zone. En 400 cas en 2009, on est arrivée en 224 en 2012 d'après un spécialiste de cette maladie mais l’augmentation du taux de contamination chez les enfants a atteint une trentaine de cas l’année dernière.
‘’Cela reflète la situation au niveau national’’, indique Mamadou Guèye, coordonnateur d’un programme de l’Association Allemande D'Aide Aux Lépreux (DAHW).
‘’Le traitement est gratuit dans tous les postes de santé et district mais la détection précoce pose problème. Notre action est déclencher le reflexe chez les personnes pour qu’elles puissent dès l’apparition des taches, consulter le médecin pour le dépistage’’, explique M. Guèye.
En outre, la prise en charge et de prévalence des invalidités manquent.
‘’Pour la lèpre, la prévention des invalidités doit se faire pendant et après le traitement alors que dans la pyramide sanitaire au Sénégal, elle démarre au dépistage précoce et s’arrête à la fin du traitement’’, a-t-il indiqué.
Cheikh S.SEYE
‘’Cela reflète la situation au niveau national’’, indique Mamadou Guèye, coordonnateur d’un programme de l’Association Allemande D'Aide Aux Lépreux (DAHW).
‘’Le traitement est gratuit dans tous les postes de santé et district mais la détection précoce pose problème. Notre action est déclencher le reflexe chez les personnes pour qu’elles puissent dès l’apparition des taches, consulter le médecin pour le dépistage’’, explique M. Guèye.
En outre, la prise en charge et de prévalence des invalidités manquent.
‘’Pour la lèpre, la prévention des invalidités doit se faire pendant et après le traitement alors que dans la pyramide sanitaire au Sénégal, elle démarre au dépistage précoce et s’arrête à la fin du traitement’’, a-t-il indiqué.
Cheikh S.SEYE