ACCUEIL
Des acteurs et des représentants de structures étatiques, en charge du développement de la chaîne de valeur riz, prennent part, depuis mercredi, à Saint-Louis, à un atelier national de promotion de la technologie du Placement profond de l'urée (PPU.
Cet atelier de trois jours se fixe notamment pour objectifs d'inciter le secteur privé technique et commercial à investir dans la production et la distribution de granulés, et de développer le PPU à d'autres cultures, écologies et nutriments.
En riziculture, les engrais azotés sont généralement appliqués par épandage à la volée avant le repiquage sous forme de perlurée (urée ordinaire), explique le texte portant termes de référence de l'atelier.
Il signale que cette forme d'application se traduit par des pertes importantes d'azote dans l'eau et dans l'air, réduisant ainsi la quantité disponible pour la plante, tout en polluant l'environnement
La technique du PPU, présentée comme une alternative, consiste à enfouir à la main ou à l'aide d'une machine un super granulée d'urée entre poquets de riz à une profondeur de 7 à 10 cm, sept jours après le repiquage.
La technologie du placement profond de l'urée a prouvé son efficacité sur le riz produit dans les systèmes irrigués, selon les organisateurs de l'atelier.
Ce procédé a été développé et introduite par le Centre international pour la fertilité des sols et le développement agricole (IFDC), en collaboration avec l'Institut sénégalais de recherches agricoles et la Société d'aménagement des terres du delta du fleuve Sénégal et de la Falémé (SAED).
Les résultats montrent une augmentation moyenne de 20 pour cent des rendements de riz irrigué, correspondant à une tonne additionnelle du paddy par ha couplée à une baisse des quantités d'urée utilisées et une réduction moyenne de 19 pour cent des coûts de production.
aps
Cet atelier de trois jours se fixe notamment pour objectifs d'inciter le secteur privé technique et commercial à investir dans la production et la distribution de granulés, et de développer le PPU à d'autres cultures, écologies et nutriments.
En riziculture, les engrais azotés sont généralement appliqués par épandage à la volée avant le repiquage sous forme de perlurée (urée ordinaire), explique le texte portant termes de référence de l'atelier.
Il signale que cette forme d'application se traduit par des pertes importantes d'azote dans l'eau et dans l'air, réduisant ainsi la quantité disponible pour la plante, tout en polluant l'environnement
La technique du PPU, présentée comme une alternative, consiste à enfouir à la main ou à l'aide d'une machine un super granulée d'urée entre poquets de riz à une profondeur de 7 à 10 cm, sept jours après le repiquage.
La technologie du placement profond de l'urée a prouvé son efficacité sur le riz produit dans les systèmes irrigués, selon les organisateurs de l'atelier.
Ce procédé a été développé et introduite par le Centre international pour la fertilité des sols et le développement agricole (IFDC), en collaboration avec l'Institut sénégalais de recherches agricoles et la Société d'aménagement des terres du delta du fleuve Sénégal et de la Falémé (SAED).
Les résultats montrent une augmentation moyenne de 20 pour cent des rendements de riz irrigué, correspondant à une tonne additionnelle du paddy par ha couplée à une baisse des quantités d'urée utilisées et une réduction moyenne de 19 pour cent des coûts de production.
aps
