Le taux de transmission du VIH/Sida s’élevait en 2011 à 5,1% chez les enfants de plus de 18 mois et à 1,1% lorsque les prophylaxies sont correctement menées chez la mère et chez le nouveau-né, révèle l’enquête nationale sur la transmission mère-enfant publiée la même année.
La chargée de communication de la Division de lutte contre le sida et les IST (DLSI), Mariame Ba, rappelle que le programme de transmission mère-enfant (PTME) du VIH a débuté sa phase pilote en 2000 à Dakar.
C’est au terme de cette phase qu’il est ressorti la faisabilité d’une bonne prise en charge des femmes enceintes séropositives, avec une réduction du taux de transmission du VIH à moins de 5%.
Par la suite, dit-elle, une ‘’évaluation de cette expérience a recommandé l’extension du programme dans toutes les régions du Sénégal’’.
C’est ainsi que pour toucher le maximum de femmes, le programme a amorcé le passage à l’échelle à partir de 2005 avec d’abord une décentralisation jusqu’au niveau des centres de santé, puis des postes de santé à partir de 2007.
‘’Ce passage à l’échelle de la PTME a été différemment engrangé dans les régions et des résultats divers ont été appréciés’’, a expliqué Mme Ba, soulignant qu’il est aussi constaté de bonnes pratiques dans la mise en œuvre du passage à l’échelle de ce programme au niveau des différentes structures de santé’’.
A l’en croire, c’est ainsi que la décentralisation du dépistage volontaire est devenue effective au niveau de 80% des postes de santé (PS) alors que seuls 5% assurent la prise en charge complète du couple mère-enfant dans le cadre de la PTME.
La mission de la DLSI compte se rendre dans le département de Podor dont le district sanitaire compte 32 postes de santé parmi lesquels 13 proposent le conseil dépistage volontaire (CDV) aux femmes enceintes.
Parmi ces postes, cinq ont décentralisé la PTME, notamment Ndioum, Mbiddi, Fanaye, Thillé Boubacar et Namarel où la mission se rendra pour relater le processus de la décentralisation de la PTME jusqu’au niveau poste de santé.
Il s’agira aussi de décrire le circuit de dépistage des femmes enceintes, des parturientes, des enfants nés de mère séropositive et des femmes séropositives dans le postpartum.
APS
La chargée de communication de la Division de lutte contre le sida et les IST (DLSI), Mariame Ba, rappelle que le programme de transmission mère-enfant (PTME) du VIH a débuté sa phase pilote en 2000 à Dakar.
C’est au terme de cette phase qu’il est ressorti la faisabilité d’une bonne prise en charge des femmes enceintes séropositives, avec une réduction du taux de transmission du VIH à moins de 5%.
Par la suite, dit-elle, une ‘’évaluation de cette expérience a recommandé l’extension du programme dans toutes les régions du Sénégal’’.
C’est ainsi que pour toucher le maximum de femmes, le programme a amorcé le passage à l’échelle à partir de 2005 avec d’abord une décentralisation jusqu’au niveau des centres de santé, puis des postes de santé à partir de 2007.
‘’Ce passage à l’échelle de la PTME a été différemment engrangé dans les régions et des résultats divers ont été appréciés’’, a expliqué Mme Ba, soulignant qu’il est aussi constaté de bonnes pratiques dans la mise en œuvre du passage à l’échelle de ce programme au niveau des différentes structures de santé’’.
A l’en croire, c’est ainsi que la décentralisation du dépistage volontaire est devenue effective au niveau de 80% des postes de santé (PS) alors que seuls 5% assurent la prise en charge complète du couple mère-enfant dans le cadre de la PTME.
La mission de la DLSI compte se rendre dans le département de Podor dont le district sanitaire compte 32 postes de santé parmi lesquels 13 proposent le conseil dépistage volontaire (CDV) aux femmes enceintes.
Parmi ces postes, cinq ont décentralisé la PTME, notamment Ndioum, Mbiddi, Fanaye, Thillé Boubacar et Namarel où la mission se rendra pour relater le processus de la décentralisation de la PTME jusqu’au niveau poste de santé.
Il s’agira aussi de décrire le circuit de dépistage des femmes enceintes, des parturientes, des enfants nés de mère séropositive et des femmes séropositives dans le postpartum.
APS